manoir de nina... la roserais

nina somnole dans son fauteuil quand Maurice entre

oui maurice ?

dame Nina un monsieur pour vous avec une bouteille de vin, m'sieur Lannis ma dit

se lève d'un bon, claude... claude ici se recoiffe machinalement, son cœur bat plus vite heureuse de voir qu'il avait fait si vite pour venir

fait le entrer Maurice ne le laisse pas a la porte

fait un grand sourire quand elle le vois entrer

claude quel plaisir de vous voir, je vous en pris prenez place

retourne a son fauteuil et le convie a ses coter

le regarde et éclate de rire

oui je reconnais bien en vous le sang chaud des gents du sud

tout en lui parlant elle se dirige vers le rideau ou se trouve la corde pour appeler le personnel

le tire et attend quelque minute pour voir Maurice arriver

Maurice svp pourriez vous nous apporter un petit en_cas pour déguster avec se vin

se retourne et demande a claude

dite moi très cher quel est le met dont je puis disposer qui se dégusterais le mieux avec se nectar ?

lui sourit puis regarde maurice

oui des olives bonne idée mettez nous aussi des petit toast que j'adore Maurice le pain aillée frotter a la tomate et du jambon coupé finement

bien m dame

le regarde sortir puis se retourne de nouveau devant son hôte qui c'était rapprocher d'elle

hum m oui j'en es un vague souvenir

le regarde un sourire malicieux au lèvres

[i]elle lui sourit quand il prend sa main et le suis sur le fauteuil elle ne savais se que lui réservais son destin mais pour le moment il avait mis se jeune homme sur sa route

il était temps de tournée la page de ré-ouvrir son cœur, qui en se moment accélérais dangereusement,et se laissa fondre dans un baiser brulant

elle était rêveuse comme toujours lorsqu'elle était dans les bras de son bien aimé, le feu crépitait dans la cheminée et une douce lueur orangeait de douceur inondée l'intimité des 2 amoureux.

Elle entendait sa respiration apaisé, a peine troublée par le crépitement des flammes. Elle soupira d'aise lorsque tout à coup elle entendit les pas de cavalcade d'une compagnie qui arrivait avec force et grand bruit on appela.

Elle crut reconnaitre la voix de nikita sa sœur. elle rajusta sa tenue et a peine avait elle rajusté un peu ses effets, des pas résonnèrent dans le couloir menant au salon , et Nikita fit irruption

Nina appela son majordome qui était au talons de sa sœur ,une femme de son statut ne pouvait fuir comme une saltimbanque est une voleuse.

Maurice préparer mes bagages pour plusieurs jours, nous partons et prenons le bateau
vous aussi faite vos bagages rapidement on parts tous je crois capable la reine de nous emprisonnés dite a joseph de préparer la diligence que vous prendrez avec les enfants

allez vite vite

elle soupire

Si encore elle savait ce qu'on lui reprochait.

- Nikita mais que se passent il? de quel crime sommes nous accusée?

elle n’eus le temps de continuer que nikita était repartie

elle connaissais sa sœur savait que pour se mette dans cette état l'heure devais être grave

elle se tourna vers l'homme qui avais su conquérir son cœur, d'une voix angoissée elle lui demande

claude vous avez entendu ma sœur il me faut partir au plus vite

elle n'ose lui demander la question qui lui brule les lèvres viendra il avec elle

bien tu sais je vais partir au mont comme sa tu a le temps de réfléchir si tu veux me rejoindre ou pas

après cette assurer que tout le monde était bien parti pour le port , elle se dirige vers l’écurie pour y prendre son étalon

Elle ne voulait pas laisser Ourasis son étalon noir, la meilleure monture qu'elle n'avait jamais possédé et qui la possédait à sa façon. elle n'avait jamais réussi à le dresser entièrement et son fier caractère la sentait parfois soumise même si ils formaient tous les deux une parfaite symbiose animal/maitresse.

Elle enfila un pantalon de cuir qui lui faisait une seconde peau. Elle aimait le contact direct avec la bête, sentir le moindre de ses frémissements et pouvoir lui intimer l'ordre qu'elle voulait et Ourasis semblait apprécier ce contact presque charnel.

Elle ne pouvait se résoudre a abandonner un tel élément de son écurie

Alors qu'elle traversait la ville au galop en direction du maulne elle ne pouvait s’empêcher de penser avec anxiété à cette suite d'évènements.

Elle réfléchissait à une faute possible commise à l'encontre du royaume et surtout la reine.

Qu’allait devenir les lendemains, elle ne pouvait envisager de se cacher une éternité au mont gaulfier. Et sa vie? elle était trop jeune pour se retirer du monde... elle pensa aussi à sa sœur Nikita pour qui cela ne devait pas être simple, son compagnon était affaiblit presque mourant, une
charge supplémentaire pour elle alors que Nina n'avait que ses 2 jumeaux, et Quinquin qu'elle avait recueilli, mais qui commençais a être un grand gaillard de 12ans à assumer mais eux aussi se devait de grandir dans la sérénité.Il semblait que l'ire de la reine était sans pareil.

Ourasis semblait piaffé à chaque interrogation de sa cavalière, ils arrivèrent au grand galop sur le quai. on s'affairait au bout de la jeté, les marins de l'intrépide"le galion qui allaient les faire fuir, lovaient les drisses et commençait à remonter les ancres, le montgaulfier n'était à quelques encablures mais le navire semblait appareiller pour toute "l'éternité". Non! c'est injuste et surtout sans fondement de quel infamie l'accusait ton?

ses pensées apaisèrent lorsqu'elle vit sur le pont à l'avant ses enfants dans les bras de leurs nourrices, insouciants du moment et babillant à l'intention des mouettes qui allaient suivre le sillage du bateau.
elle crût entendre loin derrière elle le bruit d'une troupe à sa poursuite et elle pressa le pas, veillant elle même à l'embarquement de sa fidèle mais rétive monture.

mickael soldat retour au manoir



Ouf! La montée a été difficile et les chevaux soufflent bruyamment. Les trois hommes mettent pied à terre, se retournent, et admirent, le souffle coupé, la ville d'eu à leurs pieds, baignée des chauds rayons du soleil matinal. Les toits d'ardoise multicolores font un exquis tableau digne d'être peint. Puis ils se retournent et là, ils déchantent...

"Mazette les gars, nous sommes les premiers dirait-on, la grille est fermée, toutes les portes et volets sont clos!" soupire Mickael. "Bon, en attendant ces dames lieutenant compris, on va se monter un petit bivoique. J'aurais bien aimé prendre le petit-déjeûner dans ce superbe manoir, mais on se rattrappera au dîner j'espère. Tit-Louis, ramasse ce bois mort, allume le feu. Toi Gros-Pierre, décharge les bêtes, remplis la marmite de l'eau d'une gourde, et fais chauffer le café. Oublie pas le pain et le fromage. Moi je vais panser et abreuver les chevaux."

Ils s'activent et, 15 minutes plus tard, ils dégustent leur frugale repas. Puis ils allument leurs pipes pour la digestion.

"Allez camarades, vu que personne n'a dormi, reposez-vous, je monterai la garde en attendant l'arrivée des trois charmantes dames et de nos camarades qui les escortent." Dit Mickael. Tit-Louis et Gros-Pierre ne se font pas prier. Ils s'enroulent dans leurs couvertures et se mettent à ronfler comme des sonneurs.

Mickael va se resservir du café, prend dans son paquetage son nécessaire à écrire et trois bout de parchemins. Son regard est triste et ses yeux s'embuent... Il médite et écrit durant 30 minutes, termine son ouvrage, sèche l'encre de ses billets avec du sable. Il les enroule ensemble, les nouent avec un beau ruban rouge. Puis il sort de sa casaque un pipeau d'argent, siffle une trille aiguüe. Il voit bientôt arriver Ventdunord, son pigeon-voyageur. Ce dernier se pose près de lui en roucoulant. Mickael lui donne du millet et de l'eau, lui donne son précieux rouleau. "Va, mon petit ami, vole vers la maison où j'ai laissé mon coeur." Le volatile prend son essor et disparaît rapidement.

Le soldat reprend sa faction, et pense en lui-même que toute cette foutue mission, il en a plein les bottes! Y'avait qu'à pas s'engager, mais bon, il ira jusqu'au bout bon gré mal gré... La paye est médiocre, la bouffe exécrable, mais on voit du pays et les copains sont sympats!



La route fut un peu longue, les chevaux peinait pour monter la côte et Aurélya ne voulait pas trop bousculer les prisonnière .
Un bébé à bord plus une femme en guère forme.
Aurélya s'inquiétait pour elle , sa mine blanche et parcheminée n'envisageait rien de bon .Vivement qu'elle soit bien installée et plus tranquille .

En chemin ,Aurélya avait rencontré plusieurs curieux qui regardaient ce transport entouré de soldat d'un air vraiment surpris ..
Aurélya en profita pour hélé un passant

Bonjour je suis le Lieutenant Aurélya du RIR de Rouen , je conduit quelques personne au Manoir de Dame Nina ..

Aurélya ne voulait pas nommé les prisonnières ,après tout elle étaient toujours présumées innocente ..

Dite moi mon brave pouvez vous allez chez le médecin de la ville et me l'envoyer d'urgence au Manoir ? j'ai quelqu'un de malade qui a grandement besoin de soins ..merci

Citation:
"Oui , oui Lieutenant j'y court de suite ...."

Et L'homme file en direction du centre ville ....

Arrivée devant les grilles Aurélya aperçu le soldat Mickael et la troupe entrain de camper devant les attendant sans doute..

Et bien ...il a fait vite ....

Bonjour, je vois soldat Mickael que vous avez fait rapide..
Aurélya ouvre la grille avec les clefs et fait descendre les prisonnières ..

Voila mesdames veuillez rejoindre chacune une chambre et y rester ..je m'occupe de l'intendance et je vous déclare officiellement en résidence surveillée ici en attendant d'autres ordres.
Soldat Mickael ,voici les plans du manoir, comme vous le voyez un surveillance est simple alors déployer les soldats a votre convenance , je ne veux ni sortie ni entrée sans mon avis.

Un soldat vin la chercher, Nina était déjà la et elle voyait son époux partir avec d’autre soldats

Elle était bien contente d’être enfin sur la terre ferme et encore plus d’apprendre par la bouche de sa sœur leur destination

a peine sortie du bateau quand on les mit dans une charrette sa sœur et elle, fafou ne les accompagnait pas il allait direct a la prison

elles s’assirent au fond de la charrette qui était assez profonde et elle leva la tête, pour voir leur maison du port fermée depuis longtemps ,puis regarde sa sœur qui lui explique qu’elles vont au manoir , elle était contente ,le bar de fafou elle n’arrivait pas a si sentir chez elle et se dit que le jour ou elle serrait enfin libre elle ré ouvrirait le manoir du port

Elle songeait a son époux se demandant qu’elle idée saugrenue il avait eu de toucher a l’argent du royaume et combien de temps durerais se procès
Elle entendait des gents crier vive le roy et s’étonna de la chose ,elle n’avait jamais entendu crier quand le roy était a eu

Embrasse le front de son fils et sourit se dit qu’il serra très bien chez sa tente

Dit Nina tu me donne ma chambre à coter de la tienne ?

Observe sa sœur bien silencieuse à l’approche de son manoir

Qu’es qu’il y a Nina ? Pourquoi se visage triste ?tu devrais être contente on arrive chez toi

Elle débarqua a eu on les installe directe dans une charrette le fafou nous bise avant de partir avec le gentil soldat direct pour la prison sens passer par la taverne

Elle a laissée sa bouteille dans le bateau oui a quoi bon emporter une bouteille vide alors que sa cave en regorge, elle informe sa sœur de notre destination se qui lui fait plaisir il est vrais que le manoir ont y a grandi toute deux c’était la demeure familiale qu’elle a gardé a la disparition de leur parents
le chariot montait doucement la cote faut dire qu'elle était pentu elle l'avait monter tellement de fois a pied a cheval en calèche mais c’était bien la première fois qu'elle montait dans une charrette a la place du foin ,elle connaissais chaque virage chaque cul de poule

Plus le chariot s’approche plus elle et triste elle avait déjà vus a travers les arbres que les volets était encore clôt, se qui voulais dire que ses enfants et c’est gents n’était toujours pas de retour au manoir
elle se maudissait de les avoir fait partir elle aurait du les garder prés d’elle, une l’arme perle en ses yeux, mais essaie de ne rien faire paraître de son angoisse, peine perdu car sa sœur avait de suite ressentie qu’elle n’allait pas bien

Dit Nina tu me donne ma chambre à coter de la tienne ?

Mais oui bien sur tu le sais bien enfin elle t’est réservée quand tu viens a la maison faudra allez chercher un lit pour le petit de l’autre coter

Désiré et Manon on des lit plus grand maintenant le berceau que ton époux nous a offert a notre mariage tu te rappel ?

Elle repense a se jour ou elle était si heureuse, regarde le manoir les volets clôt le regard encore plus triste et soupire

Qu’es qu’il y a Nina ? Pourquoi se visage triste ?tu devrais être contente on arrive chez toi

Oui, oui ma Niki je suis contente mais … les enfants… ils ne sont pas la tout et fermé encore et je suis si inquiète, je n’aurais jamais du les laissez partir ne pas savoir c’est pire que tout

En arrivant devant la grille elle s’aperçoit que les gardes sont déjà revenus de la prison et les attende

Une fois la grille ouverte elle saute de la charrette et appel la lieutenante

Si vous voulez lieutenante les hommes peuvent monter leur campement à coter des granges la il auront vus sur le manoir et la grille d’entrer et surtout vont pas me piétiner ma belle pelouse

Si vous permettez je vais ouvrir, la porte n’est pas facile quand on ne connaît pas et je voudrais aussi vous demander si c’est possible d’allumer un feu au salon car le manoir doit être une glacière, c’est bâtisse sont très belle mais malheureusement bien humide quand il n’y a pas de feu et je pense que sa ne ferais pas de mal a ma sœur de se réchauffé un peu

elle regarde les réactions de ses demandes qui n'avait pas l'air de froisser la lieutenante aussi elle continu

puis aussi si un garde peu m’accompagner dans les chambres prendre un berceau pour Charles Édouard, mes enfants sont trop grand pour les utiliser j’en et deux mais pour le moment un suffira pour mon neveux et le mettre dans la chambre a coter de la mienne

je voudrais aussi prendre quelques langes pour le petit je vous laisserais bien faire mais le manoir et très grand vous risquer de tournée un bon moment avant de trouver

Voulez vous une chambre vous aussi ? vous n’allez pas dormir dans c’est espèce de truc la puis vous aurez un œil sur nous comme sa





La propriétaire du manoir sois dit en passant toujours "prisonnière" retrouva vite ses marques dès l'entrée en son domaine ..
Cela fit sourire Aurélya quant elle parla de ne point abimer sa pelouse ...

Elle trouva l'idée excellente pour le feu car en effet la bâtisse était une vrai glacière ....

Soldat !! (soldat fictif)...Allez donc avec la Dame Nina pour l'aider à transporter le lit souhaiter et les couches ...

Puis se tournant sur l'autre soldat ...Vous , vous accompagner l'autre Dame prisonnière ainsi que le bébé dans la chambre a coté de la propriétaire .
Vous ne quitter pas d'une semelle ces Dames, mais aidez les tant qu'il se peu dans leur installation car j'ai bien peur que nous allons être ici un bon moment.
Moi je vais faire du feu, ce manoir est un vrai frigo et dame Nina à raison ....
Soldat Mickael je compte sur vous pour l'organisation des tours de garde, allez donc voir pour l'installation des soldats et garder moi une place ...

Aurélya sourit à la proposition de Dame Nina ...

Merci pour la chambre mais je préfère être avec mes soldats et ma louve n'appréciera pas de dormir à l'intérieur ...je serai dans la maison que dans le cadre de mes fonctions ...

Laissant chacun partir avec leur directives, Aurélya s'attela à allumer le feu dans la grande cheminée ...

Elle avait très vite avec l’aide du soldat installer le lit pour Charles Édouard, donner une robe propre a sa sœur elle s’était changer elle-même et se sentait bien mieux
elle avait une multitude de robes plus belle les une des autre, elle adorait se changer et se séjour au mont l’avait bien frustrer de se plaisir, qu’elle mit deux ou trois robe avant enfin dans choisir une

Elle n’eus le temps de demander pour descendre, que la lieutenante faisait son apparition proposant la chose

Elle sourit et se dit que cette lieutenante était une personne qu’elle aurait aimée connaître en d’autre circonstance, elle descend vite en compagnie des soldats , Niki le bébé dans les bras

Se dirige vers un petit placard qu’elle ouvre et en sort une bouteille et 3 verres qu’elle dépose sur le guéridon

un petit verre ne vous enivrera pas et va vous faire le plus grand bien

remplis les verres prend le sien et va s’installer dans son fauteuil à coter de la cheminée

Madame aureylia je vous remercie

Lui montre le conduit de cheminée

voyez vous le conduit passe dans nos chambres, raison pour laquelle nos parents, nous avait installées la, aucun danger de feu et la chaleur normalement et constante, mais la plusieurs semaines fermer a cette époque il va falloir quelques heures pour réchauffé tout sa, les murs sont bien épais

elle observais la lieutenante qui suivait son regard et instinctivement lève la tête pour suivre le conduit des yeux

Si un soldat pouvais allumer le feu des fourneaux en cuisine, il faudrait de l’eau chaude pour le bébé puis il y a du jambon et du maïs, l’office et grande, vos hommes peuvent si installer au chaud et au sec surtout puis nous somme des gents civiliser je suis chez moi et très bien, aucune envie dans partir, alors vus que nous risquons de partager le même toit quelques jours, autant que se ne sois une corvée pour personne et que votre séjours dans mon manoir, qui je regrette sois forcé pour vous ,se face dans les meilleurs condition et ne vous laisse pas un trop mauvais souvenir





Mickael sort brusquement de sa rêverie. Enfin, il voit apparaître la voiture cellulaire et son escorte. Il flanque un petit coup de pied à chacun de ses deux compagnons... "Debout fissa les marmottes, la lieutenant est arrivée!" Tit-Louis et Gros-Pierre se réveillent en sursaut, se lèvent en grommelant. Les trois soldats se mettent au garde-à-vous lorsque leur supérieure se présente devant eux pour leurs donner ses ordres. Ils hochent la tête à l'unisson. "Bien madame (dit Mickael), vos ordres seront promptement exécutés et personne ne franchira cette porte sans votre autorisation."

Une fois les trois dames à l'intérieur de la maison, Mickael se retourne vers ses deux compagnons et les quatre autres soldats de l'escorte que la lieutenant vient de lui confier.

Bon les gars, au boulot. Tout d'abord, on démonte le bivouaque." Chose qui fut rapidement expédiée.

"Maintenant, Gros-Pierre, tu prend position sur le perron. Tit-Louis, va inspecter le jardin et le parc puis prend position à la petite porte arrière. Vous deux, à la grille avant et si quelqu'un veut entrer, utilisez vos sifflets pour donner l'alarme. Vous autres, occupez-vous de dételer la voiture, remisez-là, faites manger les chevaux et pansez-les, et tant qu'à faire, occupez-vous des chevaux du détachement ; une fois cela fait, l'un de vous ressortira et patrouillera le long des murs d'enceinte ; son camarade se reposera et ira le relever toutes les 6 heures et ainsi de suite. Quant à moi, j'irai inspecter la maison de la cave au grenier afin de m'assurer qu'il n'y a pas d'issues secrètes. Puis je me tiendrai en faction dans la bibliothèque si vous avez affaire à moi. La lieutenant aura sans doute la charge de l'étage des chambres réservé au deux dames ; deux camarades l'accompagne, donc pas de soucis pour sa sécurité personnelle et la surveillance de l'étage. Ne vous avisez pas de reluquer de ce côté mes gaillards, ce gibier-là n'est pas pour nous lol. Maintenant, rompez !"

Les soldats rigolent à la dernière saillie de leur ami Mickael puis vont à leurs tâches respectives.

Soudain, Mickael se donne une claque sur le front... "Bougre d'âne! Et ta lieutenant préférée, tu vas la faire dormir par terre ou quoi ?" Il se précipite vers le bardas et, aidé du soldat restant, monte promptement la tente individuelle de sa chef près de la grange. Puis il allume un feu dans la cour et lui et son collègue montent la tente collective un peu plus loin, afin que les ronflements et les propos grivois des hommes ne risquent pas d'importuner Aurélya. Il entre dans la tente de celle-ci, y dispose une botte de paille et plusieurs couvertures chaudes, puis ressort.

Il jette un dernier coup d'oeil à la ronde. Tout est sous contrôle pour le moment.

Il entre dans le manoir. Il descend au sous-sol, visite la cave à vin, pas de faux tonneaux dissimulant une porte secrète. Il remonte au rez-de-chaussée et, à intervalles irréguliers, sonde à petits coups de manche de pique les murs et les couloirs qu'il traverse. Aucun ne rend de son creux signe de passage secret.

Puis il monte à l'étage, fait la même opération dans le couloir et les chambres inoccupées, saluant la sentinelle de garde. Au bout de celui-ci, il avise une trappe au plafond et une échelle contre le mur... Il assujetti celle-ci, déverrouille la trappe et grimpe... Ah oui, c'est bien le grenier et les chambres mensardées des bonnes... Rien à signaler ici... Les fenêtres donnent sur la cour intérieure, donc pas d'échappatoire... Il redescend mais, par mesure de précaution, met l'échelle sous son bras et, une fois redescendu au rez-de-chaussée, va poser celle-ci dans l'entrée.

En revenant sur ses pas, il entre dans la cuisine. Il allume l'hâtre, rempli 3 marmites d'eau tirée d'un tonneau prévu à cet effet, les suspend dans la cheminée.
Puis, en sortant, il voit sa lieutenant arriver dans sa direction.
Il la salut, lui sourit ainsi qu'à Laeshan, et dit : "Faites excuse mon lieutenant... Les tours de garde sont établis. Le bivouaque est remonté. Votre tente personnelle également. J'ai sondé les murailles, aucun passage secret détecté. J'ai pris la liberté de faire bouillir de l'eau dans la cuisine. Elle pourra servir à faire chauffer la soupe de ces dames ainsi qu'à votre toilette à toutes les trois et à l'enfançon. J'avais décidé de prendre ma faction dans la bibliothèque, mais si vous préférez que nous ressortions inspecter le campement, je vous suis." Il attend patiemment sa réponse.





Aurélya a retrouvé le soldat Mickael, celui ci a fait bonne mesure et il semblerai que tout soit en ordre ...

Mickael a écrit:
J'avais décidé de prendre ma faction dans la bibliothèque, mais si vous préférez que nous ressortions inspecter le campement, je vous suis


Non non soldat, je vois que vous avez conduit les choses de main de maître ..je suis tres contente ...mais auriez vous vu ma louve par hasard ? ...c'est bizarre qu'elle ne soit pas la à m'attendre...

Merci pour l'eau je vais en avertir ces Dames et leur apporterai ...si tous les soldats ont reçu leurs ordres c'est tres bien ,je viendrai manger avec vous car pour l'instant l'étage est vide j'ai fais descendre les prisonnières dans le salon le temps que la maison s'échauffe j'ai fais du feu dans la grande cheminée ...

Je vais revoir ces Dames puis je vous rejoins...

Aurélya revient dans le salon ou les prisonnières s'installent..Dame Nina lui explique le fonctionnement des buses de la cheminée ...et lui demande de l'eau chaude ....

Oui Dame Nina je connaissais le système des buses, je possède le même dans mon auberge à Paris ..mais j'ignorai qu'il était appliqué ici même ..tant mieux cela permettra de réchauffer plus vite l'étage et de vous installer dans vos chambres en attendant des ordres .

L'eau est justement entrain de chauffer elle ne tardera pas à etre bonne pour les repas, l'enfant et vos toilettes ..
Malheureusement j'ai reçu des ordres et mes hommes et moi même dormirons dehors ..je vous remercie un soldat restera au rez de chaussé à tour de rôle et moi je resterai à l'étage , je ferai des passages aléatoires ..par contre ma louve sera certainement dans le coin alors ne vous effrayez pas si vous êtes bien ou vous avez été assigner c'est à dire ici pour l'instant et dans votre étage par la suite, elle se contentera de passer ...
Sinon elle m'avertira de suite , elle est tres intelligente mais pas agressive si on ne la cherche pas ..n'ayez donc aucune crainte pour l'enfant ..il suffit de ne pas essayer de la caresser ou de l'apprivoiser ...elle fait son travail...juste ce que je lui assigne ..

Voila je vous laisse vous détendre devant le foyer , je vais continuer ma ronde ...

MessageSujet: Re: [RP] le manoir de nina Mar 6 Sep - 14:55 Sélectionner/Désélectionner multi-citation Répondre en citant Editer/Supprimer ce message
elle était de retour du mont ou elle avait ouvert la maison des enfants perdu puis passer ouvrir celle de eu

elle rentre au manoir ouvre les volet et s'installe dans son salon prend une verre et s’installe confortablement elle reste pensive dégustant son calva préférer

prend un vélin et une plume et commence a écrire tout se qu'elle a besoin pour la maison des enfants perdu

elle rentrait de l'auberge sur son étalon comme presque chaque jour ou nuit depuis sont retour du mont ,elle trottait tranquillement jusqu’à son manoir

quand elle vie l’aller qui menait au château!!

elle talonne ourasis décide de faire une petite cavalcade autour du château avent de rentrer

elle repensais a la conversation qu'elle avait eu avec le roy et restait encore interloquer de lui avoir parlé
elle se demandais s'il allait venir avec son épouse a sont manoir

elle connaissais chaque allez et chemin tout autour du château... elle y avait grandi ,elle était née au manoir a coter;

elle caresse légèrement le flanc de son étalon serre a peine les talons et s'emporte dans un galop les cheveux au vent et le sourire aux lèvres

maurice


La vie avait repris son cour dans le manoir, dame Nina était parti au mont avec joseph et son épouse la nounou des enfants et le manoir avait retrouvé son calme
Il astiquait rangeais avec son épouse

La germaine la p’tite va être contente le manoir brille comme un sou neuf

Il regardait son épouse qui pétrissait la pate a pain, se dit dame Nina n’allait pas tarder à rentrer… passe derrière sa femme la plaque contre la table

Rho ma germaine ses belle miches m’affole

Maurice voyons que t’arrive t’il ? on est pas dimanche te voila bien guilleret

Toute rougissante comme une pucelle elle se retrouve bien vite le nez dans la farine les jupons par dessus tête

Il fait vite fait bien fait sa petite affaire, puis se reboutonnant il regarde son épouse et éclate de rire

Te Voila bien fariné ma germaine

Elle rit avec lui et s’essuie le visage emplie de farine et reprend comme si de rien n’était le pétrissage de sa pate, elle était heureuse depuis plus de 20ans avec son Maurice elle ne remercierait jamais assez le très haut d’être entré comme nourrice a l’époque au service des Neuville pour s’occuper des jumelles dame Nina et Nikita

Allez dépêche toi dame Nina ne va pas tarder à arriver va donc me chercher une belle poule pour le souper

Il fait demi tour après avoir déposé un gros bécot sur les lèvres charnu de sa germaine et sort a contre cœur de la cuisine