manoir de nina... la roserais

Alors à nous Nina, si tu le veux autant que je le désire et que nos vies ne soient plus que joies et beautés

A nous …. Et tu, tu, reste la autant que tu le désire

Se dit qu’elle le garderait bien toute la vie

Trinque puis vide son verre

Elle le regarde le sourire aux lèvres, elle est troublée, elle si bavarde se taie et le regarde

Nina et si nous allions voir ce que font Athéna et Sekhmet dans le parc, juste voir si elles ont bien prit possession des lieux et ainsi faire une petite sortie pour Arés avant que nous ne passions à table nous même.

Oui excellente idée, on laissera ares dehors le temps du diné sa lui fera du bien avant la nuit

Se lève et prend sa cape chaude et fourrée, pose sa main sur son bras et se dirige vers la porte principale


Ares ici on sort

Ouvre la porte et le froid m’étreint de suite machinalement ressert ma cape sur moi

Va ares va chercher t’es s.

Je nue pas le temps de finir ma phrase que les deux chiennes sautes déjà autour de nous

Rit et regarde Pendragons , elle est si bien, détendu ,le cœur bat plus rapidement de le sentir si prêt
Presse un peu mes doigts sur son bras et descend les marches qui mène au parc

Toujours mes yeux insérés en les siens, à la recherche des réponses taraudant ma cervelle en ébullition constante, je parviens à ressentir ses émotions. Elle n'est pas gênée et cela me rassure au plus profond de moi, elle est troublée, ce qui est d'une autre nature de sentiments rejoignant les miens en mon coeur enamouré.
Tout en nous mirant mutuellement elle lâche cette phrase qui me réchauffe instantanément le corps et l'esprit.

A nous …. Et tu, tu, reste la autant que tu le désire

Mon regard s'illumine, si elle savait seulement que déjà je ne voulais plus la quitter, mais je n'ose encore le lui dire, il nous faut le temps de la découverte et voir si en dessous de nos enveloppes charnelles nos coeurs battent en un unisson indéfectible et harmonieux en leurs mélodies partagés.

Nina ....Je pense rester bien plus longtemps que ton imagination ne peut en rêver...

Nous trinquons et en bons Normands , cul sec nous vidons nos verres de ce calva fabuleux. Le trouble est perceptible des deux cotés. Nina sourire aux lèvres affiché tel le soleil de midi dans un ciel bleuté immaculé est troublée, elle si loquace d'accoutumé ne dit mot. L'émoi me prend de même et seuls nos yeux émerveillés parlent entre eux d'un discourt similaire en leurs teneurs et mots susurrés. Nous restons ainsi quelques instants suspendus dans le temps et l'espace, les pensées fusent en nous et nos sangs circulent en flots, en torrents impétueux dans nos veines.

Nina ayant approuvé une sortie dans le parc avant le souper, dépose sur ses épaules dénudées sa cape, prenant de sa main mon bras naturellement, nous nous dirigeons vers la porte donnant sur l’arrière de son manoir et son lieu arboré de senteurs locales ou de pays lointains. Je me demande à quoi ressemblera t il au printemps revenu, entre ses éclosions de fleurs et ses ramages naissants.

de retour du parc


Elle sourit heureuse

Ares tu reste dehors le temps que nous on dine, reste avec t’es sœurs

Entre toujours main dans la main la table et mise une bonne odeur emplis la pièce

Elle soulève le couvercle de la soupière et hume

Hummm…. un velouté d’asperge j’adore, je me demande comment fait germaine pour trouver des asperges a cette époque… une magicienne cette femme

Rit et s’installe à table après avoir ôter son châle, elle remarque de suite le regard gourmand de Pendragons et se demande si c'est le velouté de germaine ou le velouté de sa peau qui l'attire le plus

Une fois que tu va avoir gouté la cuisine de germaine tu es fichu tu ne pourras plus tend passé
Tu va être obligé de rester la

Rit encore

Tu sais le destin nous as réunis tu as pris la propriété de feu mon mari, a vrais dire ca me faisais trop mal et je les l’abandonnée, je suis vraiment heureuse que tu y sois

Le regarde tendrement

Mangeons, faut pas que sa refroidisse cella serais un pêché

Leur verse un verre a tout deux et goute

humm ... oui.... un régal

Il est excellent Nina, mais ainsi il devient nectar Divin!

S’approche je peu sentir son souffle sur mes lèvres puis en prend possession d’un baisé fougueux et ardent
Le désir de lui se fait encore plus fort sa poitrine se soulève au rythme de son cœur affolé
La pièce disparais elle ne voit plus que lui, que les étoiles qui brilles en ses opalines noir

Je t'ai découvert toi... l'Amour
Si longtemps recherché. J’ai enfin croisé ton chemin
Tu m'as fait connaître ton pouvoir magique ; Qui fait chanter mon cœur
Et danser mon âme
Ne m'abandonne pas J'espère tout de toi Car au milieu de mes nuits et mes jours
Je n'aurai pas assez d'une vie Pour apprendre à aimer a aimée toi mon amour

Le regarde intensément puis goute et savoure encore et encore c’est lèvres gourmande
Jamais vin ne lui parus plus gouteux et délicieux


hummmmm oui... divin et bien le mot qui convient

Nous devisons sans nous tarir et nos rires envahissent l'espace tel Attila et sa horde de Huns les plaines d'un passé révolu.
Bien calés en nos fauteuils respectifs, Maurice débarrassant méticuleusement la table, nous continuons nos palabres un vieux calva en main.

Nina tout sourire nous sert généreusement, une douceur de vivre est présente, nous pouvons la ressentir, la toucher du bout des doigts et avec un peu de chance si Maurice presse le pas, de nos lèvres avides de l'autre nous le pourrons aussi bientôt. Il traînarde le bougre, j'ai bien envie de lui lâcher Arès au train cela le motiverait d'avantage je pense.

Je suis épuisée et demain me faut me rendre a paris tu sais j’ai besoin d’un secrétaire pour me secondée le poste ne te plairais pas ?

Déjà tu me ferais le tri des personne à voir… élèves dans leurs classes respective et prof ou tout autre demande tu me les envoies, j’ai aussi du tri à faire dans mes papiers quelques courriers a envoyez tu vois le travaille ne manque pas.

Penses-y et si tu es d’accord je t’attends là-bas

Je la regarde amoureusement.

Nina je vais y penser cette nuit, je te le promet, car chaque moment à tes cotés est un réel bonheur et l'idée de t'assister me plait, évidement tu emmènes Arès avec toi. D'ailleurs il est temps qu'il rentre et laisse ses soeurs monter la garde pour la nuit.

Je me lève et entrouvrant la porte donnant sur le jardin je siffle Arès, qui arrive en trombe comme à son accoutumé, poursuivit de ses terribles soeurs aux trousses.
Le temps d'une caresse à Athéna et Sekhmet, avec l'ordre de monter la garde, je referme la porte derrière moi. Arès prend place aux pieds de Nina, je suis très fier de lui et de son comportement, il a bien compris son rôle et la place des occupants du manoir.


La soirée s'éternise très tard dans la nuit, les bougies vacilles épuisées elles aussi. Nina nous ressert une cuvée de sa réserve.

A nous a notre rencontre qui inonde ma maison de joie et de bonne humeur

Je me mire en ses opalines.

A l'Amour Nina!!!

Nous vidons nos verres comme une armée de Polonais assoiffés, d'un trait, une idée me traverse l'esprit, mon sourire s’étale rayonnant.

Nina..Je sais que tu as un atelier ou je peux trouver tous les outils nécessaires, mais te souviens tu si dans ta bibliothèque tu possèdes un traité sur la serrurerie....ou l'art de crocheter la nuit sans faire de bruit ...Je ne veux pas attaquer ta porte au pied de biche quand même.

Mon rire éclate dans la pièce, je me perds en ses yeux...

L'oeil en coin rieur, je regardais le brave Maurice filer comme une anguille entre les portes lorsque Nina l'apostropha.

Maurice pouvez vous m’apporter mes pantoufles ensuite allez vous couché il se fait tard
Hum m il est bien rapide se Maurice quand il veut.

Un sourire complice sur la célérité de Maurice ravi nos zygomatiques une fois de plus entre deux calvas et nos regards de braises.

Dit moi j’ai renvoyé Maurice se couché, peut tu m’aider a dénoué mes bottines ? avec cette robe, certes très saillante, il met impossible de le faire
Je peu rappeler Maurice si sa te dérange.

La malice trace ses dessins sur nos visages et nos échanges opalins sont empreints de plaisirs, ceux du moment et de nos plaisanteries et ceux de l'imaginaires et de leurs sensualités.

Non Nina, je ne veux pas fatiguer le brave Maurice à la tache, je vais me dévouer, puis il est vieux et myope il risque de confondre tes lacets de bottines et ceux de ton corset. Alors que moi non, le corset cela sera volontaire de ma part.

Mon rire éclate et résonne tout en prenant sa jambe délicatement entre mes mains pour en dénouer l'entravant lacet. Tout doucement avec tendresse je lui caresse la jambe légèrement en remontant le long de son mollet.
Sa peau et douce comme de la soie et blanche comme une vestale. Je la sens frémir sous mes doigts, elle en profite pour revenir sur le manuel de serrurier et son cortège d'outils tout en riant à gorge déployée.

Tu sais je ne pense pas que tu en auras besoin
Elle est impossible a ouvrir une fois fermé notre ami Galerand la bien protéger, comme tout le reste du manoir
Il ne reste qu’une solution me donner envie de ne point la fermé

Nous rions de plus belle, elle a le feu aux joues et ma concentration sur les lacets devient de plus en plus aléatoire.

Ouf… il fait vraiment chaud ici ou alors c’est le calva qui me donne des chaleurs

Je la regarde dans les yeux puis relevant un peu plus sa robe, dévoilant ses cuisses opalines je dépose un baiser amoureux sur la fraîcheur de sa chair.

Nina la chaleur monte et pourtant je n'ajoute pas de bûches dans l’âtre et pour le calva il est une eau plate comparé à la fièvre de toi qui m’envoûte. Mais je pense que nous avons le remède miracle en nous ma belle.

Oubliant ses chaussons et leur confort, je la prend par la main et l’entraîne vers l'escalier.....