[rp]pour fuir la vengeance..... de la Reyne (?)

nuit du 4 au 5 mai

La première partie de la nuit fut un vrai bonheur, le bruit des vagues s'échouant sur les rochers ramenèrent Roxetrice quelques mois en arrière. Elle était dans les bras de son Brin de Muguet dans la même chambre. Nuit de retrouvailles, elle le sentait tout contre elle.
Puis tout se mélangea le temps et les évènements, elle était avec Muguet, mais il lui parlait du duel, lui faisant des reproches sous-entendus. Un dialogue s'installa

- Mon tendre amour, pourquoi avoir mis votre vie et celle de notre enfant en jeu lors du duel ?

- Ma vie sans vous n'a pas de sens j'ai envie de vous retrouver là-haut, que nous soyons réunis à nouveau.

- Le Très Haut en a décidé autrement. Il vous a donné la vie sauve, vous allez pouvoir mettre au monde notre enfant. Par la volonté du Très Haut, je suis envoyé près de vous pour vous guider dans les épreuves qui sont les vôtres et celles de votre famille. Il m'a demandé de vous guider jusqu'au Mont Gaulefier terre de l'Eglise Pascalienne.

- Pourquoi dois-je subir toutes ces épreuves ?

- La vie est faite d'épreuves, plus ou moins difficiles à vivre, mais il faut vous raccrocher à votre foi, votre foi en Pascal, votre foi en le Très Haut.

- Est ce que je peux vous demander quelque chose mon amour?

- demandez toujours je vous dirais ensuite si je peux y répondre !

- pourriez-vous m'aider à réveiller mon papounet ? Je suis si inquiète, je vous ai déjà perdu, je ne veux pas le perdre, il est avec mon petit frère ce qui me reste de famille.

- Je vais voir ce que je peux faire, mais rappelez-vous qu'avec Fafounet vous ne serez jamais à l'abri de surprises.... Malheureusement, je vais devoir vous laisser.

- Non, je vous en pris mon amour, restez avec moi.

- Soyez rassurée, je suis à vos cotés, j'aurais surement l'occasion de revenir.

Roxetrice sentit profondément le baiser qu'il posa sur ses lèvres et sur son front. Elle tenta d'ouvrir les yeux mais il n'était plus là. Elle les referma espérant qu'elle pourrait continuer leur dialogue, mais il n'était plus là.

Une crampe la sortit de son rêve. Elle caressa son ventre pour essayer de se détendre. Si cela continuait elle risquait d'accoucher avant l'heure, et cela ne semblait pas être encore vraiment le moment.

Elle décida qu'elle irait prier dans la journée. Elle se rendormit le coeur battant.

a l'aube du 5

niki avais veillée une bonne parti de la nuit son époux avais finalement sombrer dans un profond sommeil

Charles Édouard réveillé par son père se mit a hurler , son crie perce la nuit se qui ne manque pas de réveiller sa mère qui instantanément ouvre les yeux elle mis quelques secondes avant de réagir que son époux s’était redresser seul et réclamais a manger

elle avais du mal a y croire elle se pince ...je rêve pas possible non elle ne rêvais pas il était bel est bien réveiller

fafou mon amour, enfin te voila réveiller

se penche sur lui et lui dépose un tendre baiser sur ses lèvres chaude ,'puis l'observant le trouve étrange il ne répond pas a son baiser comme a l'accoutumer a l'air plutôt surpris de la voir l'embrasser

mon fafou... on est au mont gaulfier, tu sais on était déjà venu ici tout les deux ,oh mon tendre je suis si heureuse de te voir éveiller j'ai eu si peur , ta fille roxe et ici aussi dans une chambre a coter

elle se lève pour prendre le petit qui continu de hurlé ,elle ouvre les rideaux de velours qui couvre la fenêtre , le jour semble accueillir le réveil de son époux et chasse la nuit,un magnifique soleil darde ses raillons encore faible a cette heure matinal

tu vois ton fils aussi a faim il est aussi goulu que toi

tu as faim en voila une bonne chose ne bouge pas de la je vais te chercher a manger tu ne bouge pas tu es encore bien trop faible

elle garde le petit dans ses bras puis se souvenant de la promesse faite a sa belle fille va vite taper a sa porte

roxe, roxe ,vite ton père.... vite, viens

regarde si la porte et ouverte puis décide d' entrer

roxe viens vite fafou il est sauver il réclame a manger

elle retourne voir son époux suivie de roxe qui se lève bien vite

rentre et s'assoie sur le lit a coter de son époux puis découvre son seins car Charles Édouard lui se moque du réveil de son père et ne veux que son lait , lait qui commence a coulé et trempe la chemise de niki

tu vois mon fafou comme je te le disais ton fils est un soiffard pire que son père

elle rit, elle pleur de soulagement

a l'aube du 5

niki avais veillée une bonne parti de la nuit son époux avais finalement sombrer dans un profond sommeil

Charles Édouard réveillé par son père se mit a hurler , son crie perce la nuit se qui ne manque pas de réveiller sa mère qui instantanément ouvre les yeux elle mis quelques secondes avant de réagir que son époux s’était redresser seul et réclamais a manger

elle avais du mal a y croire elle se pince ...je rêve pas possible non elle ne rêvais pas il était bel est bien réveiller

fafou mon amour, enfin te voila réveiller

se penche sur lui et lui dépose un tendre baiser sur ses lèvres chaude ,'puis l'observant le trouve étrange il ne répond pas a son baiser comme a l'accoutumer a l'air plutôt surpris de la voir l'embrasser

mon fafou... on est au mont gaulfier, tu sais on était déjà venu ici tout les deux ,oh mon tendre je suis si heureuse de te voir éveiller j'ai eu si peur , ta fille roxe et ici aussi dans une chambre a coter

elle se lève pour prendre le petit qui continu de hurlé ,elle ouvre les rideaux de velours qui couvre la fenêtre , le jour semble accueillir le réveil de son époux et chasse la nuit,un magnifique soleil darde ses raillons encore faible a cette heure matinal

tu vois ton fils aussi a faim il est aussi goulu que toi

tu as faim en voila une bonne chose ne bouge pas de la je vais te chercher a manger tu ne bouge pas tu es encore bien trop faible

elle garde le petit dans ses bras puis se souvenant de la promesse faite a sa belle fille va vite taper a sa porte

roxe, roxe ,vite ton père.... vite, viens

regarde si la porte et ouverte puis décide d' entrer

roxe viens vite fafou il est sauver il réclame a manger

elle retourne voir son époux suivie de roxe qui se lève bien vite

rentre et s'assoie sur le lit a coter de son époux puis découvre son seins car Charles Édouard lui se moque du réveil de son père et ne veux que son lait , lait qui commence a coulé et trempe la chemise de niki

tu vois mon fafou comme je te le disais ton fils est un soiffard pire que son père

elle rit, elle pleur de soulagement

le 3 dépars

bien tu sais je vais partir au mont comme sa tu a le temps de réfléchir si tu veux me rejoindre ou pas , puis je préfère que tu ne prenne aucun risque

après cette assurer que tout le monde était bien parti pour le port , elle se dirige vers l’écurie pour y prendre son étalon

Elle ne voulait pas laisser Ourasis son étalon noir, la meilleure monture qu'elle n'avait jamais possédé et qui la possédait à sa façon. elle n'avait jamais réussi à le dresser entièrement et son fier caractère la sentait parfois soumise même si ils formaient tous les deux une parfaite symbiose animal/maitresse.

Elle enfila un pantalon de cuir qui lui faisait une seconde peau. Elle aimait le contact direct avec la bête, sentir le moindre de ses frémissements et pouvoir lui intimer l'ordre qu'elle voulait et Ourasis semblait apprécier ce contact presque charnel.

Elle ne pouvait se résoudre a abandonner un tel élément de son écurie

Alors qu'elle traversait la ville au galop en direction du maulne elle ne pouvait s’empêcher de penser avec anxiété à cette suite d'évènements.

Elle réfléchissait à une faute possible commise à l'encontre du royaume et surtout la reine.

Qu’allait devenir les lendemains, elle ne pouvait envisager de se cacher une éternité au mont gaulfier. Et sa vie? elle était trop jeune pour se retirer du monde... elle pensa aussi à sa sœur Nikita pour qui cela ne devait pas être simple, son compagnon était affaiblit presque mourant, une
charge supplémentaire pour elle alors que Nina n'avait que ses 2 jumeaux, et Quinquin qu'elle avait recueilli, mais qui commençais a être un grand gaillard de 12ans à assumer mais eux aussi se devait de grandir dans la sérénité.Il semblait que l'ire de la reine était sans pareil.

Ourasis semblait piaffé à chaque interrogation de sa cavalière, ils arrivèrent au grand galop sur le quai. on s'affairait au bout de la jeté, les marins de l'intrépide"le galion qui allaient les faire fuir, lovaient les drisses et commençait à remonter les ancres, le montgaulfier n'était à quelques encablures mais le navire semblait appareiller pour toute "l'éternité". Non! c'est injuste et surtout sans fondement de quel infamie l'accusait ton?

ses pensées apaisèrent lorsqu'elle vit sur le pont à l'avant ses enfants dans les bras de leurs nourrices, insouciants du moment et babillant à l'intention des mouettes qui allaient suivre le sillage du bateau.
elle crût entendre loin derrière elle le bruit d'une troupe à sa poursuite et elle pressa le pas, veillant elle même à l'embarquement de sa fidèle mais rétive monture.

sur le bateau dans la nuit du 3 au 4


Alors qu'ils voguaient, bientôt les lumières de la ville s'éteignirent au profit de celles de l'auberge du "pré salé" sur le mont gaulfier, véritable phare par mauvais temps mais aussi mauvaise humeur et coups de cafard pour le calvados qu'on y sert à l'intention des marins. Elle comptait y demander des chambres pour tout le monde et y élire son domicile quelques temps, le temps qu'il faudrait pour tirer cette histoire au clair.

Elle n'avait laisser personne derrière elle sauf "claude" . Elle se refusait a savoir si il la rejoindrait mais il ne semblait pas concerné par cette malheureuse histoire et ne voulais pas qu'il puisse avoir de représailles.

Elle prit pour elle la chambre la moins confortable car elle se sentait responsable d'avoir entrainer tous ses gens.

e 5 mai au petit matin

Après avoir hurlé à la faim, il entendit un drôle de couinement qui venait d'un berceau.
La dame à ses côtés s'éveilla et parut ravie de le voir mais lui n'avait aucune idée de qui elle pouvait bien être.

Il alla jeter un coup d'oeil dans le berceau et s'écria :
C'est quoi ce truc !

Il se pencha un peu mieux est aperçu un bébé pas plus gros qu'un lièvre braillant comme si l'ennemi était aux portes de la ville. Il regarda la blonde qui lui souriait avec appétit. Elle était charmante et tenta de lui expliquer quelque chose qu'il ne comprit pas. Elle l'appelait mon amour et lui parlait de son fils tout en riant et pleurant à la fois.

A nouveau Fafou se gratta la tête dans l'espoir de faire jaillir une étincelle dans sa mémoire mais rien, le vide, le néant, pas plus de souvenir que de montagnes sur un horizon marin. A tout hasard, il lança :

Bonjour Madame ! Belle journée, n'est ce pas ?

5 mai a l'aube

madame ??

mais voyons fafou se truc comme tu dit et ton fils ,et je suis ton épouse aurais tu perdu la tête mon aimé ?esse une blessure au bras que tu as ou un coup a la tête que tu aurais reçus

elle le regarde les yeux rond en se disant que la fièvre toujours présente le faisais délirer

reste tranquille ta fille est parti chercher de quoi manger je suis nikita ta femme et voici ton fils Charles Édouard

elle lui montre le petit qui est toujours fermement accrocher a son sein le lait dégoulinant a la commissure de ses lèvres s’écoule doucement sur son sein chaud et gorger de lait , pas coiffée encore ses long cheveux d'or descendais en cascade jusqu'au reins

elle le regardais souriante et anxieuse en même temps il n'avais pas l'air de la reconnaitre et son fils non plus se qui l’inquiétais au plus haut points

Roxetrice remonta prévenir que le plateau arrivait, et aider Nikita. Elle sentit une nouvelle crampe. Cela n'était vraiment pas bon signe mais elle ne montra rien quand elle toqua à la porte. Nikita lui dit d'entrer, et Roxe vit son père assis qui semblait tout bizarre.

- Tout va bien papounet, le plateau arrive, nous allons déjeuner. Je vais préparer la table pour qu'on puisse manger ensemble si Nikita le veut bien.

Roxetrice regarda Nikita qui semblait perdue.

- Il y a un problème Nikita ? Le bébé ? Fafou ?

Fafounet semblait hébété, il fixait tour à tour Charles Edouard qui tétait goulument et Nikita. Roxetrice tout essayant de préparer une table, observait la scène.

On toqua à la porte, elle ouvrit, et vit l'aubergiste qui menait le petit déjeuner.

- Voilà ma p'tite dame votre commande. J'ai rajouté du pain frais, du beurre et de la confiture.

-Merci merci. On va s'occuper de tout. Donnez moi donc le plateau. Merci et à tout à l'heure.

Roxetrice installa sur la table les assiettes, bols, couverts, le café, le lait, et l'omette chaude.

- A table tout le monde.

Bon Eristern n'etait pas la pour rigoler il fallait retrouver les fuyards , il commença donc ses recherches laissant ses soldats se reposer , il enquetta dans toute la ville pour finir par se retrouver dans le port la journee etait bien avance , il avait fini par apprendre que les fuyards avaient pris un bateau pour le Mont depuis le 4 Mai ils avaient donc un jour d'avance sur eux , Eristern fonça retrouver ses soldats .
Amelia , Zaza nous embarquons dans les fregattes , nous avons un bateau a rattrapper il va falloir faire vite ils ont un jour d'avance , alors vous faites embarquer les cheveaux et on leve l'ancre vous avez une heure pour embarquer je n'attendrais pas les retardataires
Eristern fonça vers la fregatte et grimpa dessus , il tomba sur le capitaine capitaine dans une heure nous prenons la mer , pour quelques jours de voyage , direction le Mont , vous me ferez porter les cartes dans ma cabine
bien Amiral il en sera fait comme vous le demandez
Eristern se dirigea vers la cabine

Une femme, un fils ! Visiblement des gens qui le connaissaient bien. Mais où était-il tombé le pauvre !

La blonde qui se prétendait son épouse avait un visage bien agréable mais semblait furieuse après lui. Elle évoqua une blessure au bras, c’était sans doute à cause de cela qu’il ne pouvait pas le bouger.
Il se défendit d’un sourire en attendant de mieux comprendre ce qui lui arrivait.

Elle disait s’appeler Nikita et le bébé Charles-Edouard. Donc, ils auraient eu un bébé ensemble dans une autre vie. Fafou détailla la blonde de plus près. L’idée était plaisante ; elle était plutôt avenante et pourvue d’attraits qui ne devaient pas laisser un aveugle indifférent. Evidemment, il fallait aller voir ce qui cachait sous cette chemise mais, il jugea que le moment n’était pas bien choisi. D'ailleurs, ça devenait soudain intéressant puisqu'elle ouvrit ladite chemise pour coller le bébé sur son sein débordant de grâce.

Fafou n'eut guère le temps de jubiler devant le tableau puisque la porte de la chambre s’ouvrit et une autre femme toute aussi jolie et toute jeunette entra pour annoncer qu'un plateau allait arriver pour le déjeuner. Elle était enceinte jusqu’aux yeux et Fafou se demanda aussi sec s’il devait aussi s’en attribuer la paternité. Là aussi l’idée était plaisante !
La nouvelle venue le regarda bizzarement
Citation:
Il y a un problème Nikita ? Le bébé ? Fafou ?


Fafou ? Tout s’embrouillait dans la tête vide de Fafounet et résonnait contre les parois de son esprit comme l’écho sur la montagne auquel nul ne répondait.

Par acquis de conscience, il alla vérifier son image dans un miroir.
Un quadragénaire bien avancé aux cheveux grisonnants, au ventre épais et ballotant et à la trogne rouge comme un coquelicot lui fit face. Il eut beau le scruter jusqu’au fond des yeux, il n’avait jamais vu de sa vie cette espèce de tonneau plein de vinasse qui devait crever sous lui n’importe quel cheval au bout d’une lieue. Une tronche à effrayer un monstre marin ou à faire tourner le lait des vaches avant même de les traire.

Il remettrait à plus tard toutes les questions qui se bousculaient et s’intéressa plus au plateau qu’à la future mère qui le portait.
Citation:
A table tout le monde.

dit la dame après qu'on eut livré le plateau, révélant ainsi qu’elle avait l’esprit pratique.

Mais, café, confiture, pain et omelette n’étaient guère à la hauteur de l’appétit de Fafou en ce matin de printemps ensoleillé :
Savez-vous mesdames, s’il serait possible de déguster autre chose de plus consistant ? Je ne sais pas moi, un poulet, un lapin, un gigot d’agneau, quelque chose qui me cale le ventre. J’ai une faim de loup. … Ensuite vous me direz qui je suis, ce que je fais là, et quel est la suite du programme !

Alors qu'Amélia caressait son cheval, l'Amiral eristern revint. Il fallait rejoindre la frégate. Aussitôt dit, aussitôt il avait disparu. Elle regarda le soldat zaza.

Il ne reste plus qu'à y aller, soldat !

Elle grimpa sur son cheval et se dirigea ainsi vers la frégate, espérant que le soldat zaza la suive.

Elle descendit de son cheval et grimpèrent tous les deux, Amélia et son cheval, sur la frégate. Elle se dirigea vers l'Amiral afin de se présenter.

Amiral ! Quartier-Maître Amélia Nivel, à bord de la frégate.

Matin du 5 mai dans la chambre du couple Fafounet/Nikita à l'Auberge.

Roxetrice était en train de préparer la table pour un petit déjeuner en famille lorsqu'elle fut alertée par l'attitude de son père. * aurait-il perdu la raison ? * Roxetrice regarde Nikita, qui semblait aussi inquiète, dévisageant son époux, qui semblait complètement étranger à sa réalité.

Roxetrice proposa déjà de déjeuner avec ce que la tavernière avait monté, qu'ensuite qu'il faudrait attendre un peu pour pouvoir avoir une quelconque viande cuite.

Mon Papounet, qu'est ce qui t'arrive ? Ta perte de connaissance t'aurait-elle fait perdre la raison ? Nous allons nous mettre à table et allons discuter un peu pour te rendre compte de la situation actuelle, puisque tu étais inconscient depuis que nous sommes rentrés du Duel.

Roxetrice l'aida à se lever du lit et à s'asseoir à table, le temps que Nikita finisse de s'occuper du petit.

Matin du 5 mai dans la chambre du couple Fafounet/Nikita à l'Auberge.


niki observe son époux et reconnais de suite dans son regard l’esprit lubrique de celui ci

les nerfs de celle si avais était mis a dur épreuve entre son accouchement,le duel la fuite, la peur qu'il ne se réveil pas

la colère qui bouillais en elle depuis le duel éclate, et pour la première fois de sa vie hausse le ton devant son époux

fafou est tu complétement gaga, je viens de te dire que Roxetrice était ta fille et tu pensera a manger autre chose plus tard sinon tu va être malade mange déjà cette omelette , tu n'est plus baron et en cuisine il prépare le diner, tu mangera a midi comme tout le monde

elle lui parlais comme jamais elle ne l'avais fait d'une voix ferme ,ses yeux lançais des éclairs, toute l'amertume qu'elle avais depuis qu'elle savais la teneur du duel ressortais

tu veux savoir et bien je vais te le dire

tu t'es battue en duel car tu a insulté la reyne la faisant passer pour une menteuse on ta enlever t'est titre de seigneur et de baron et tu sais pourquoi

car il parais que tu parlais mal de moi ton épouse et maintenant la reyne nous en veux car tu n'est pas mort et veux nous voir tous mort pour avoir oser te défendre, tu na même pas pensé a ton fils et bientôt peu être petit fils ou petite fille , tu na agis quand homme égoïste qui ne pense qu'a lui et aucunement au personne qui l'aime

on se moque de moi comment je peu aimé un homme comme toi et sa franchement dieu seul le sais comment, après tout le mal que tu me fait comment je peu encore te défendre et t’aimai

maintenant on est ici car on fuit le courroux de la reyne et sa on ne sais jusqu’à quand

elle retire le petit de son sein l'essuie puis garde le petit la tête sur son épaule tapotant légèrement son dos

dieu a voulu nous donner un fils après toute ses années de mariage et j’espère qu'il pourra être fière de son père

elle se lève et entreprend de changer le lange de son fils évitant ainsi de le regarder ses main tremble légèrement ses yeux brille de larmes contenu

Roxetrice restait interloquée, elle n'en croyait pas ses yeux et ses oreilles. Nikita, femme effacée aimante, qui prenait brusquement la mesure des choses et qui du coup montrait son courroux. Le Fafou allait passer un sale quart d'heure.

Roxetrice passait son regard de Nikita à Fafounet, alternativement une dizaine de fois pour bien se rendre compte que Fafounet n'était vraiment pas dans son état normal.

- Bon Nikita je crois que le Fafou là il a besoin de voir un médecin d'urgence. Je finis de prendre mon petit déjeuner puis je me rends au palais pour implorer qu'on nous envoie un médecin. ensuite je crois que j'irai prier un peu.

Roxetrice prit le temps de boire son lait chaud avec une pointe de café, de se tartiner une bonne tartine de pain frais avec du beurre et de la bonne confiture de fraise.

- Hummmm délicieux, vous devriez en faire autant.... Fafou l'omelette va être froide, mange.

Elle trempa sa tartine dans le lait pour pouvoir la manger plus vite. Elle était si inquiète qu'elle avait hâte d'aller au palais. Quand elle eut finit, elle donna un baiser tendre à Niki, au bébé, et à son papounet.

- Je file.

Roxetrice dévala les escaliers aussi vite que son état le lui permettait. Elle avait pleinement conscience qu'il lui fallait faire attention. Elle dit au couple de tavernier qu'elle sortait.

Une fois dehors, elle héla un fiacre, et demanda au cocher de la mener au palais.

Matin du 5 mai, devant le Palais papal.

Arrivé devant le palais, le fiacre s'immobilisa, Roxetrice descendit avec prudence. Elle laissa partir le fiacre et s'avança en direction des grilles du palais. Elle y vit le gamin auquel elle avait confié le billet pour sa Sainteté le Pape. Il dormait tout contre la grille, comme si il attendait quelque chose. Elle essaya de le réveiller sans trop le bousculer. Lorsqu'il ouvrit les yeux il eut une réaction de peur, se défendit son bras devant son visage, comme s'il pensait qu'il allait être frappé.

- Alors petit, j'attends depuis longtemps la réponse à mon billet.

- Dame le monsieur là il a refusé que je rentre, on a pris le billet et j'ai demandé une réponse que j'attends encore, il m'a dit qu'il fallait patienter car le pape était occupé.

- Bon petit va à l'auberge prendre un petit déjeuner, vite. Prends ce billet pour le tavernier

Spoiler:



Elle vit le garçon partir en courant. Il en avait de l'énergie le gamin. Roxetrice se demanda si on la ferait attendre comme ça compte tenu de son état. Elle se dit qu'elle allait essayer.

- Bonjour Monsieur le Garde, pourriez-vous dire à sa Sainteté que Roxetrice de Conteville demande une audience privée. C'est une question de.....

Roxetrice se plia en deux, une nouvelle crampe encore plus douloureuse lui fit perdre connaissance. Le garde pontifical voyant cela alla chercher du secours.

_________________

Arrivée à l'auberge du gamin que Roxetrice envoie des grilles du palais le 5 mai au matin.

Il courut à travers les rue de la cité en direction de l'auberge. Il y entra en trombe .

- Eh gamin, pourquoi tu cours comme un dératé. Tu serais pas le gamin dont m'a parlé la p'tite Dame enceinte ?

- Si la dame m'a donné un billet pour vous. Tenez....

Spoiler:



- Bon assieds toi, et regarde la dame qui descend elle va s'occuper de toi.

Le Gamin s'installa, et vit le tavernier lui apporter un grand bol de lait chaud avec du pain du beurre de la confiture. Il se jeta dessus avec un bonheur sans pareil. Est ce qu'il serait tombé enfin sur des gens gentils.

Le tavernier tendit le billet de Roxetrice à la femme qu'il vit descendre il ne savait plus si c'était la belle mère ou la soeur de celle-ci.

- Tenez dame de la part de la p'tite dame enceinte.

l'aube semble déjà poindre au travers des persiennes mal taillées des volets de la fenêtres de sa chambre que le cri des mouettes chasse les derniers fils des rêves nocturnes de Nina. elle ouvre timidement un œil puis un autre avec difficulté. elle ressent un léger mal de tête relatif à l'abus de l'excellent calva dont elle a abusé la veille au soir. trop de soucis, elle avait besoin de noyer ses tracas et à défaut s'est noyé dans le cul de bouteille de cette vieille eau de vie qu'elle torcha comme un fieffé pochard au retour d'une campagne de pêche au hareng dans les mers du nord, n'ayant pas vu les cotes depuis fort longtemps et enfin de retour en escale avant la prochaine sortie en mer. justement son haleine n'a pas a rougir de l'odeur de fond de cale, elle essaie de se lever et se casse la figure en bas de son lit comme si on lui avait retenu et lié les 2 jambes. allongé sur le plancher grossier elle s'aperçoit que dans son ivresse elle n'a pas eu le temps de se déshabiller entièrement et de se préparer pour la nuit, dormant en travers du lit sur l’édredon de plume d'oie et le pantalon à moitié baissé par manque de force de l'enlever jusqu'au bout. elle en tenait une bonne tout de même;
allons! le meilleur moyen d'effacer ce moment de faiblesse est de s'offrir une ballade matinale à cheval. ourasis a souffert de l'enfermement pendant le voyage en mer et cela lui fera aussi le plus grand bien.
elle se dirige vers la commode et boit une large rasade à la cruche, verse le reste de l'eau dans une bassine, s'asperge le visage de ses 2 mains
une fois prête elle descend faisant bien attention de pas lâchée la embarde
dudiou je suis encore sur le bateau

file direct a la cuisine et hèle le tavernier

bonjour monsieur un grand bol de café bien noir et un double calva svp

oui , boujou,m dame de suite ha... j'ai un mot pour vous qu'a apporter l gosse la

alors que le tavernier et vite parti chercher commende sans avant avoir détailler la jeune femme lis le mot et se dirige vers le gamin

boujou ptit qui ta donner se mot ?

le gamin barbouiller de confiture n'avais pas l'air trop heureux d’être déranger pendant qu'il se goinfrais

c'est c'est la dame avec le gros ventre au palais ma dit de manger et de donner l mot

bien alors mange tout se que tu veux mais ne te rend pas malade on va s'occuper de toi tu bouge pas

retourne au bar ou le tavernier lui a servi un grand bol de café noir , elle le prend et le vide bien vite le double calva a la volé suis le même chemin

bon germaine ma cuisinière va descendre c'est elle qui s'occupe de moi et de mes enfants vous lui confierez le petit de ma pars moi je vais prendre l'air

dépose une bourse remplie d'écus sur le bar ,sourit en voyant directe le sourire du tavernier s'agrandir

tenez mon brave pour les peines que vous occasionne notre venu

ooui m'dame le le dirais compter sur moi

nina en écouta pas plus et sort

ourasis lui fait un accueil tendre lorsqu'elle arrive a l'écurie, et qu'elle lui offre une poignée d'avoine. soufflant un air tiède délicatement de ses naseaux alors qu'elle lui caresse le museau, ce qu'il affectionne particulièrement. cet étalon est capable d'autant de douceur que d'impétuosité et c'est peut être ce qui plait à Nina qui n'aime pas les êtres mièvres; mi ange mi démon? serait ce un trait de son caractère qu'elle a toujours ignoré?
Elle se sent troublée, ressentant le manque d'un regard, une intention, une envie, elle est femme et loin de sentir qu'elle n'aura plus jamais de rêves de désir.

elle le chevauche le talonne et part les cheveux au vent au triple galop

5 mai au matin, dans la chambre de Nikita et Fafou après le départ de Roxetrice.]

Fafou commença à déguster tandis que la femme s'appelant Nikita lui passait un savon, lui faisant mille reproches dont il ne comprenait pas le sens.
L'autre dame, sa fille, parait-il, une dénommée Roxetrice, mangea rapidement puis sortit pour aller chercher un médecin.
C'était un médecin pour lui. Là non plus, il ne comprenait rien tant et si bien qu'il s'énerva à son tour :

Mais saperlipopette ! s'écria-t-il, lâchant son assiette pour secouer Nikita, j'y comprends que goutte à tes calembredaines ! Qu'est ce que c'est que ces histoires de Reine, de duel, d'insultes, de fils, de petit-fils et de je ne sais qui encore ? Qu'est ce que c'est que ces fadaises fantasmagoriques ? Qu'est ce que Dieu vient-il faire là dedans ?Je n'ai pas besoin de lui pour faire un fils !

Il regarda la blonde au minois délicieux qui semblait s'effrayer de sa colère.
Il avait besoin de savoir qui il était, de comprendre ce qu'il faisait ici, de tenter d'assembler les divers éléments de sa vie passée, de cette famille qu'on lui présentait. Il était empli d'une terrible soif de saisir ce qui lui échappait, d’attraper cette vie qui passait devant lui sans pouvoir s'engager à la poursuivre, l’attraper, la dompter et lui demander des comptes.

Niki le fixait de ses grands yeux verts au fond desquels dansait la flamme de la vie.
Il eut soudain l'envie de s'y plonger dedans, pour aller brûler le vide qui broyait son esprit.
Son cœur se mit à cogner comme s'il voulait sortir, son sang claqua sur toutes les extrémités de son corps comme la mer sur la falaise un jour de grande tempête.
Il attira Nikita à lui et s'exclama d'une voix forte :

Je suis votre époux, dites-vous, Madame ! ... Fort bien, vérifions cela de suite !

D'un mouvement brusque il déchira la chemise de nuit et, basculant Nikita sur le lit, il se coucha sur elle.

e matin du 5

niki le cœur battant fut surprise de la réaction se son époux et reste pétrifier quand celui ci se met a la secouer comme un prunier

elle n'avais peu être pas choisi le bon moment pour se fâcher mais sa avais était plus fort qu'elle

il plonge son regard dans le sien et la toute rancune s’évanouit, elle l'avais toujours aimé et quand celui si décide qu'il était son époux il avait certain droit et le plaisir dans user, elle ne su au premier abord comment réagir
puis il se mis a déchirer sa chemise,qui faut le dire n'avais vraiment rien des petite dentelles qu'elle portait habituellement en sa compagnie
elle avais mis une chemise confortable pratique pour allaité son enfant et décente vus les va et viens dans leur chambre, le restant de colère fondit comme neige au soleil

enfin elle retrouvais son époux a qui aucune de ses robes n'avais résister,un époux fougueux et aimant elle l’étreignis,l'embrassent fougueusement elle retrouve les gestes et mots d'amour du début de leur mariage la tempête tumultueuse de leur sens exacerber les submerges et les emporte dans un tourbillon sens fin, il découvrit un autre plaisir que son enfantement lui avais procurer il en usa tend et bien que seul les cries affamé du petit arrive a les faire revenir sur terre
elle se lève en tenu d’Ève ses long cheveux d'or brille sous les rayons du soleil qui maintenant a son zénith inonde la chambre , son corps a peine changer par la grossesse avais juste pris quelque rondeurs avantageuse sur son corps menu
prend le petit et retourne avec lui se blottir tendrement dans les bras de son époux
soupire de contentement son regard va de son époux amoureusement de ses beau yeux vert qui brille de mille feux ,a leur fils qui avais vite trouver la source de son plaisir a lui bois le lait chaud et riche de sa maman,ses joues encore rouge du plaisir de leur ébats ses lèvres gonflé des baiser donner et pris sens retenu aucune , sourit heureuse d’être la avec les deux hommes de sa vie

Le 5 mai au matin devant les grilles du palais papal.

On lui tapotait les joues ! une odeur d'alcool de menthe ! Une sensations sucrée mentholée sur la langue ! Elle tentait d'ouvrir les yeux, mais sentait ses paupières lourdes.

- Madame réveillez-vous allons ! ça y est elle revient ! ...... vous nous avez fait peur Madame.

- où suis-je ? qui êtes-vous ?

Roxetrice essaya de se rappeler et se souvint de son voyage en fiacre, de son arrivée au palais papal, de l'enfant à qui elle avait donné un mot pour l'aubergiste. Elle se mit à tousser.

- Mon bébé ? Mon bébé !!!

- Madame pour quand est prévu l'accouchement ?

Roxetrice essaya de reprendre ses esprits.

- Je crois que c'est pour fin juin/première quinzaine de juillet

- Qu'est ce qui s'est passé avant que vous ne tombiez ?

- J'ai à nouveau ressenti une grosse crampe qui m'a pliée en deux, et quand j'ai voulu me relever, je me suis sentie partir.

- Madame, vous semblez épuisée. Où logez-vous ?

- Je suis en famille à l'auberge du pré salé. Mais j'attends absolument une réponse du Palais. J'ai demandé un audience.

- Attendez..... je vais vous ramener à L'auberge.... montez dans mon fiacre je vais avertir le garde, comment vous appelez-vous ? . ....

- Roxetrice de Conteville.

Le médicastre trouvé par on ne savait qui, s'adressa au garde pontifical. Il lui demanda avec qui la dame avait rendez-vous ; celui-ci ne souhaita pas répondre. Le médicastre laissa un mot puis accompagna Roxetrice à l'auberge.

Spoiler:



Le 5 mai matin entre le Palais papal et l'auberge du pré salé

- Docteur ?

- Oui Madame ?

- Pourriez-vous ausculter mon père en même temps. Il a été blessé lors d'un duel, a été recousu, était inconscient, et lorsque ce matin il est revenu à lui, il semblait perdu, sans souvenirs, bêta ?

- Je prendrais le temps qu'il faut pour vous tranquilliser.

Le 5 mai arrivée à l'auberge du pré salé.

Roxetrice sortit du fiacre soutenue par le médicastre.
Ils entrèrent, expliquèrent le malaise à l'aubergiste, montèrent dans la chambre.

Avant de s'enfermer dans sa chambre elle frappa à la chambre du couple Fafounet/Nikita.

Fafou, Niki, le médecin est là, il s'occupe de moi, Niki viens dès que tu peux le chercher pour mon père.

Collé à Nikita comme un cavalier à sa monture, Fafounet, poussé aux reins par les flammes du désir, se laissa emporter par les bourrasques dévastatrices du plaisir, et tourbillonna dans la folle jubilation des chairs.
Il s’accrochait à la vie par ses fonctions animales, il cherchait à se retrouver le bon sens de la marche du monde, à reprendre pied dans la nature humaine, à crever le brouillard qui obstruait sa mémoire.
Et là, au plus fort de la lévitation charnelle, une onde de choc sublima Fafounet et la lumière jaillit.
Fafou roula sur le lit les yeux hermétiquement clos tandis que les images de sa vie passée s’affichait avec une netteté surprenante dans son esprit. Ses souvenirs reprenaient forme, ses idées se mettaient en place il sut enfin de nouveau qui il était.

Il ouvrit les yeux regarda sa femme et dit doucement :
Bonjour Niki, tu vas bien ?

A cet instant on frappa à la porte de la chambre et Fafounet reconnut la voix de sa fille Roxetrice:
Citation:
Fafou, Niki, le médecin est là, il s'occupe de moi, Niki viens dès que tu peux le chercher pour mon père.

Roxetrice est là ? s’étonna-t-il. Mais tu peux me dire où nous nous trouvons ? Et pourquoi faire un médecin ?

Il venait de réaliser qu’il n’était pas chez lui ni dans aucun autre décor qu’il connaissait. Il se souvenait du duel, de son refus de se battre, de son désir de ne pas faire de Christabel un assassin, d’avoir avoué tout ce que la Reine voulait entendre et d’être ensuite parti avec Roxetrice.
Ensuite, rien, le trou noir, jusqu’à ce qu’il se retrouve dans son passe temps favori, en compagnie de sa femme, pour une fois !
Il se précipita à la fenêtre de la chambre. Il vit une ville inconnue à l’architecture bien spéciale. A l’horizon, la mer et une côte toute proche. Les images d’un voyage entre amoureux revinrent eux aussi dans sa mémoire :
Mais que faisons-nous au Mont Gaulefier ?

Qu’avait-il pu se passer pour qu’il se retrouve avec femme, enfant, fille, armes et bagages dans cet endroit si plaisant et si tranquille ? Un nouveau voyage de noces ?
Qu’avait bien pu tramer sa femme pendant sa défaillance ? Lui réservait-elle une surprise ? Et d’abord, depuis combien était-il là ?

Mais qu'est ce qu'on fait au Mont ? répétat-t-il à Nikita en la fixant du regard. Et depuis quand sommes nous là ?

niki le regarde, avait elle bien entendu il l'appelais par son prénom ,un espoir jaillis pourrait il avoir recouvrer la mémoire ? puis la voix de sa belle fille cette fois si aucun doute mon fafou était de retour elle ne peu s’empêcher de l'embrassé fougueusement

mon cœur enfin. tu a retrouver la mémoire. tu sais que tu nous a fait vraiment peur

crie a roxe

oui, oui , on arrive tout va bien dit au médicastre que nous arrivons le temps de nous mettre quelques vêtements sur le dos

regarde son époux

se que l'on fait ici, bien... on est en fuite ,et pas que nous Nina et la aussi avec tout son personnel et les enfant les jumeau et quinquin la reine veux voir toute la famille au fond dune geôle, on a demander audience a jean enfin le pape ici on est en sécurité en terre d'asile

se lève et pose le petit dans son lit qui repus dors comme un ange

écoute on va se levé et descendre on va tout t’expliquer en bas et vu l'heure devant un bon repas, on ne peu faire attendre le médicastre

tout en se coiffant elle continu de lui parlé

on est arriver hier dans la journée on a pris le bateau au port a eu on est venu direct ici

tu sais ta fille a était vraiment formidable sens elle on était tous en prison mais il faut absolument qu'elle se repose j'ai bien peur que si elle continu son bébé n'attendra jamais un mois pour venir

se passe un peu d'eau sur le visage et met sa plus jolie robe décolleté comme il les aime , lui donne une chemise propre et un pantalon

habille toi on va les rejoindre

le regarde et se dit qu'avec son bras la chemise allais avoir du mal a passer

elle sourit , coquine

tu as peu être besoin d'un coup de main ?^^ mais sage ... ta fille et le médicastre nous attende, on va faire une belle surprise a ta fille

Fin de matinée du 5 mai à l'étage de l'auberge.

Roxetrice avait donc prévenu Nikita qu'elle ramenait un médecin.
A travers sa porte elle l'entendit crier :

Citation:
oui, oui , on arrive tout va bien dit au médicastre que nous arrivons le temps de nous mettre quelques vêtements sur le dos


Roxetrice se dit : *ohoh, mettre des vêtements, le Fafou serait déjà à pied d'oeuvre..... sa réputation serait justifiée et il n'avait au moins pas oublié son amour du jeu avec les dames*, le visage de Roxetrice s'illumina d'un grand sourire à cette idée, ce qui n’échappa pas au médecin qu'elle fit entrer dans sa chambre.

Le médecin posa sur la table la mallette qu'il emportait toujours avec lui.

- Bon Madame, voulez vous bien vous allonger ?

Roxetrice s'exécuta, inquiète de la santé de son bébé. Le médecin remarqua que Roxetrice était habillée d'une jupe et d'un haut.

- Pourriez-vous s'il vous plait défaire votre chemisier pour que je puisse palper votre ventre et vérifier comment réagit votre bébé.

Roxetrice se rassit pour défaire les lacets de son chemisier se trouvant dans son dos. Puis elle se rallongea, souleva son chemisier pour permettre à ce médecin que le Trés-Haut avait mis sur sa route, elle se demandait bien comment, de l'examiner.

Le médecin prit son temps . Roxetrice surveillait les mains qui palpaient, essayaient de faire réagir le bébé. Elle était anxieuse, cela faisait un moment qu'elle ne l'avait pas senti bouger. Mais était-elle en état pour être disponible à cet enfant, trop occupée par le risque de perdre son père. Le visage du médecin était impassible, impossible pour elle de décrypter ce qu'il pouvait penser. Il ne lui restait plus qu'à attendre son diagnostique.

- Bon Madame, je n'irai pas par quatre chemins, la santé de votre bébé m'oblige à vous dire que je suis inquiet. Votre enfant devrait être plus tonique que ça. Il est urgent que vous puissiez vous reposer, et surtout bien vous alimenter. Vous m'avez parlé d'un crampe avant votre malaise. Est-ce que c'était la première fois ?

- Non docteur, j'ai peu plusieurs crampes plus ou moins douloureuses, je dirais une par jour depuis 3 jours. Il faut dire, depuis le duel au cours duquel mon père a été blessé.

- Bon cela semble être des contractions. Je vais être obligé de toucher à votre intimité, pour vérifier le col de votre utérus. M'y autorisez-vous ?

- Vous êtes médecin, vous seul connaissez les examens qu'il faut faire et j'ai décidé de vous faire confiance puisque le Très Haut et Pascal vous ont mis sur ma route.

Le médecin s'exécuta, fit l'examen, palpa, tout en regardant le visage de Roxetrice tendu et pale.

- Votre col est ouvert d'un doigt, rien de grave. Les contractions étant espacées, je diagnostique une grande fatigue nerveuse et physique, donc je vous mets au repos. Dois-je prévenir quelqu'un à ce sujet ?

- Mon père et ma belle-mère arrivent.

- Ah oui vous m'avez demandé à ce que je vois votre père. J'en profiterai.

- Oui il a une blessure au bras et à un tendon, soignée par votre collègue le Docteur Marianne de Bourbon à EU qu'il faut vérifier.Il est resté inconscient plusieurs jours et s'est réveillé ce matin mais dans un état bizarre.

- Bon je vais voir ça.

On toqua à la porte. Roxetrice avait eu le temps de se rhabiller.

- Entrez.

L'aubergiste montait un plateau pour prendre thé ou café avec quelques galettes, spécialité locale. La porte étant restée ouverte, Roxetrice entendit du mouvement coté chambre paternelle, ils arrivaient.

Eu le 5 Mai au soir

Amelia etait monte sur la fregatte ils etaient pres a partir , mais Eristern avait un ordre a donner avant
Matelot Zaza vous restez ici avec l'autre fregatte , vous devriez etre bientot rejoint par l'infanterie et vous les ferez embarquer dans la fregatte , bien maintenant il nous faut y aller je voudrais les ratrapper rapidement

Eristern se dirigea vers le pont pour prendre les commandes du navire , maintenant il fallait avancer et vite, Eristern fit larguer les amarres et la fregattes pris le depart , la sortie du port ce fit sans emcombre et ils atteignirent la mer tres rapidement , le vent etait bon pour le moment et Eristern savait ou il devait aller , maintenant il fallait esperer qu'ils ne croiseraient personne en route , Eristern n'avait pas envi de perdre du temps
Eristern savourait cet instant a la barre du navire , il ne lui manquait qu'une chose Mai Lee , elle etait toujours a la maison a se reposer , toutes ses pense allaient vers elle en ce moment

Sur la mer entre Eu et le Mont le 6 Mai

La nuit avait ete calme , Eristern etait reste a la barre toute la nuit , il avait laisse la place au capitaine pour se reposer quelque heures , la fatigue commençait a ce faire sentir quand meme , il se dirigea vers la cabine et s'installa dans le hamac qu'il avait fait placer la , il s'installa dedans et le tangage du bateau le berça , il s'endormit comme un nourrisson

zaza s'etait un peu perdu ds ses pensée, elle retrouve son équipage enfin.
[i]
elle se mit ho garde a vous et dit:

[color=brown]Bien mon amiral je l'ai est trouver l'infanterie et ils doivent monter a bord pour le 7 mai.
[/color

[ chambre de Fafou et Niki le 5 mai vers midi ]

Ah oui, il fallait s’habiller !
On ne pouvait décemment pas rester nu comme un vers à longueur de journée ?

Les explications de Niki concernant leur présence ici étaient à peine claires et fafou n’avait pas compris grand-chose.
Bon, oui, la Reine leur en voulait comme à tous ceux qui ont le malheur de pas être de son avis. Ca ce n’était pas nouveau et cela ne nécessitait pas une fuite sur le Mont Gaulefier.
L'affaire du duel était terminée à moins que Fafou ait raté un épisode d’une histoire dont il n’avait jamais bien perçu l’intérêt d’en faire un foin pareil. Mais bon, dès qu’il y a du foin, les ânes sont là.
Et que venait faire Nina et toute sa smalah dans cette fuite. Et Pourquoi fallait-il l’intervention du Pape ?

Enfilant tant bien que mal sa chemise malgré son bras endolori il demanda à Nikita des précisions :
De quoi vous a menacé la Reine et à quels propos ? demanda-t-il. Je ne comprends pas grand-chose à ton histoire. Si vous n’avez rien à vous reprocher pourquoi fuir ? Dans l’état où est Roxetrice, à deux doigts d’accoucher, elle aurait mieux fait de rester au calme à Amiens ! Et faire faire un voyage comportant des risques à un bébé de quelques jours me parait hautement fantaisiste !
La Reine, bien qu’elle ait un caractère de cochon, n’a jamais mangé personne !
Ou alors tu me caches quelque chose, on ne fuit pas ainsi sans raison !

Nikita s’habillait aussi parce que Roxetrice les attendait et qu’il allait être l’heure de déjeuner et Fafou avait grand faim !
Mais bon, tu as raison ! Allons déjeuner, les idées s’éclaircissent toujours mieux avec un ventre plein ! allez, zou, dépêche-toi !

Fafou allait sortir quand il trouva un homme sur le pas de la porte de sa chambre C’était un médecin qui justement le cherchait, envoyé par Roxetrice pour sa blessure au bras.
Fafounet salua l’homme et lui déclara :
Mon bon ami, je descends déjeuner ! Si vous voulez m’ausculter il vous faut attendre que j’aie fini de manger ou alors le faire pendant que je suis à table !
Je vous laisse le choix, mais nul n’empêche le baron de Conteville de dévorer quelques volailles pour se restaurer ! Qu’on se le dise !

Et Fafou descendit à la salle à manger de l'auberge, sans se préoccuper de savoir si Niki le suivait !

[ chambre de Fafou et Niki le 5 mai vers midi ]


écoute roxe t’expliquera ça bien mieux que moi a vrais dire elle ma donner très peu d’explication mais après son courrier reçus... je t’assure toi aussi tu aurais fuit

soupire et se dit quel dommage qu'il fut inconscient a se moment la sa leur aurais peu être éviter toute cette cavalcade

tout c'est déroulé tellement vite le bébé, ton duel, ton retour blessé, inconscient puis alors que le médicastre nous donnais les consignes roxe reçut un courrier et de la... met la médicastre dehors lui disant que de te soigner était dangereux pour elle et me dit vite il faut fuir des garde vont venir arrêter toute la famille car tu n'est pas mort au duel et qu'elle voulais nous voir tous mort toute la famille alors j'ai était chercher Nina et nous voila au mont roxe nous a dit qu'ici la reyne ne peu pas nous emprisonner

elle reste derrière lui,courant presque pour le suivre et butte derrière lui quand il stoppe parlé au médicastre , salut le médicastre et continue a le suivre

voila tu en sais autant que moi

elle s’arrête essoufflé

puis, puis, tu n'est plus baron non plus

la reyne ta retirer t'est titres après le duel

elle le regarde , se demande comment il va réagir,et n'approche pas plus, se souvenant comment il l'avais secouée quelque heures auparavant