[rp]pour fuir la vengeance..... de la Reyne (?)

le Port du Mont : Départs et Arrivées Mar 3 Mai - 18:41

Roxetrice avait eu vent d'un risque d'arrestation pour toutes les personnes s'étant interposées au duel.
Elle en avertit Nikita, lui proposant de partir en famille se mettre sous protection hors de France.

Elles firent partir Marianne de Bourbon sans l'informer de quoique ce soit.
Elle prirent leur courage à deux mains, montèrent une civière , chargèrent Fafounet dans celle-ci et l'installèrent dans sa grande diligence, après avoir pris le soin d'en enlever tout blason.

Elle mirent le bébé dans une nacelle, récupérèrent quelques affaires en vitesse, et s'installèrent dans la diligence.

Il faisait presque nuit quand ils arrivèrent au port d'Eu, juste à l'heure pour monter la diligence dans la navette en partance pour le Mont.

Oui elles avaient choisi le Mont, seul lieu où elles seraient les bienvenues et sous protection.

MessageSujet: Re: [RP] "Au délices de minuit " (bar nocturne) Mer 4 Mai - 13:01

regarde sa belle fille est se demande se qu'il se passe elle intime l'ordre a la médicastre de partir immédiatement lui explique brièvement qu'on dois venir les arrêter , après avoir expliquer brièvement la situation

elle reste quelque seconde interloquer mais très vite prend le dessus et va vite préparer des malles qu'elle fait rapidement porter dans la diligence

ma sœur ma sœur aussi et en danger on doit la prendre en passant

elle aide roxe a mettre son époux dans la diligence couvre le petit pars rapidement sur les hauteurs chercher Nina elle la traine éberluer dans la diligence et reparte aussi vite au port ou un bateau les attend

une fois sur le bateau elle regarde sa sœur et sa belle fille

bon alors roxe si maintenant tu nous expliquais pourquoi on veux nous arrêter ?

le Port du Mont : Départs et Arrivées Mer 4 Mai - 13:37

elle ne savais même plus le jour qu'on était se voyage en bateau lui avais semblé une éternité un jour deux elle ne savais plus mais ils étaient la attendant des nouvelles, elle était épuisée cette fatigue ne la quittais plus

en d'autre circonstance elle se serais réjouie de se voyage en bateau mais se voyage était un cauchemars elle avais passer sont temps au dessus de la rambarde a vomir le peu qu'elle avais dans le ventre pour un premier voyage sur mer elle était servie elle n'était pas prête d'oublier

malgré les explication de sa belle fille elle n'arrivais toujours pas a comprendre se qu'il se passais

son époux avaient repris connaissance pas bien longtemps malheureusement puis était retombé en léthargie, lui au moins ne se rendais compte de rien

elle se sentais si seule pourtant vu le monde présent elle était loin de l'être

elle tiens contre elle le petit, regarde sa sœur et sa belle fille, touche le front de son époux

sa va le voyage ne la pas trop perturbé la fièvre stagne

regarde toute la troupe

Nina était tu obliger d'emmener tout ton personnel ?

elle lui rétorque qu'il fallait bien du monde pour s'occuper deux et des enfants et ne voulais pas faire prendre de risque a personne

elle n'insiste pas elle vois que Nina est verte de rage depuis leur dépars et prête a exploser aussi préfère s'adresser a sa belle fille


bon sais tu ou nous allons loger ?

le Port du Mont : Départs et Arrivées Mer 4 Mai - 14:41


Ils avaient voyagé de nuit, et c'est en cours de journée qu'ils arrivèrent en vue du Mont Gaulefier.
Le port était l'étape ultime avant de pouvoir dire qu'ils ne craignaient plus rien.

Elle griffonna un billet qu'elle transmettrait de suite au Palais Papale.

Spoiler:



Nikita lui avait demandé de prendre Nina au passage, et l'ambiance était explosive, personne ne comprenant ce qui se passait. Roxetrice non plus d'ailleurs, juste que son instinct de survie qui lui avait été bien utile jusqu'à ce jour lui dictait la conduite à tenir.

- Nikita regarde nous arrivons. Le port est là. Nous allons demander mais je sais qu'il y a une auberge sur les monts. J'y suis allé avec Muguet. J'ai fait un mot à Jean.... enfin au Pape pour demander sa protection. Nous en saurons plus bientôt.

le Port du Mont : Départs et Arrivées Mer 4 Mai - 15:02


elle regarde le mont, la mer était haute ils étaient a son pied et attendais visiblement l'ordre de pouvoir débarquer et foulé enfin la terre ferme

jean... une auberge .... elle écoutais vaguement sa belle fille oui jean était un ami un homme bon est juste il ne les laisserais pas au griffe de cette reine assoiffée de sang

une auberge bien ils pourront ainsi être a l'abri

elle soupir et câline son fils qui lui na pas était perturbé une minute est n'a jamais dormi aussi bien

elle le pose dans la nacelle et pose ses avant bras sur la rambarde regarde se mont majestueux au milieux des flots elle lève la tête et se dit misère comment allons nous monter la haut puis vois quelques chemins de terres

soupire et se dit que sa sœur a peu être bien fait d'emmenée son personnel s'il faut monter la haut des bras seront les bienvenus

: Départs et Arrivées Mer 4 Mai - 16:09

Roxetrice sentait bien que Nikita était anxieuse. Surement autant qu'elle d'ailleurs. La vue du port lui fit du bien, elle pensa à Muguet, à leur escapade ici où l'enfant qu'elle portait avait été conçu, du moins elle voulait le croire. Elle eut une pensée pour.... elle la chassa.

La navette s'immobilisa au niveau d'un ponton. Un mouvement des carosses, fiacres, diligences commença à se faire. Chacun son tour arrivant à la terre ferme.

Nombre de personnes étaient là attendant les voyageurs ou à la recherche d'un petit boulot.
Roxetrice vit un jeune homme qu'elle appela.


- Dis petit.... tu veux gagner quelques pièces ?

- Oui Dame. Voulez vous que je vous aide pour vos bagages.

- Non mon garçon, nous avons du personnel pour ça.

Roxetrice regarda Nina qui commençait à donner des ordres pour rassembler toutes ses affaires ..

- Peut-tu aller jusqu'au Palais ?

- Oui bien sûr Dame.

- Alors je te confie un pli urgent. Il faut le donner en main propre à sa Sainteté le Pape Valentin 1er. Je te donne déjà un Louis. Tu en auras 4 autres si tu me ramènes une réponse. Comme nous avons un bébé à nous occuper, nous allons à l'auberge du Pré Salé pour prendre un repas et nous reposer. C'est là où tu nous trouveras.

- j'y cours, j'y vole, dame.

le Port du Mont : Départs et Arrivées Hier à 10:52

Roxetrice vit l'enfant partir dans une course folle.

Elle espérait qu'il arriverait au but de la mission.

Pendant ce temps, il fut demandé aux cochers de Nina et Fafounet de s'occuper des chevaux, des voitures, des malles. Il fallait attendre de savoir où ils allaient s'installer, mais en attendant il était important de s'alimenter et de permettre à Nikita de nourrir son bébé.

Roxetrice vit deux fiacres. Elle demanda aux cochers s'ils pouvaient les emmener à l'auberge du Pré Salé.

La civière où Fafounet reposait depuis Eu fut installée dans le premier. Fafounet était toujours inconscient et Roxetrice se proposa pour monter à ses cotés. Nikita prit le second portant son enfant éveillé dans la nacelle, en compagnie de sa soeur Nina.

Ils se firent donc conduire à travers les rues étroites de la cité du Mont et arrivèrent dans la cour de l'auberge où ils entrèrent.

Auberge "Au Pré-salé" hier à 11:23


Un premier fiacre arriva dans la cour de l'auberge, puis un second.
Roxetrice demanda à Nikita de s'occuper de faire descendre la civière pendant qu'elle s'occupait de réserver 3 chambres et une table pour déjeuner.

Elle entra dans l'auberge et y reconnu le couple de propriétaires.

- Bonjour Madame, bonjour Monsieur, vous me reconnaissez ? J'ai fait un séjour ici et mon compagnon est venu me rejoindre.

- Oh oui Madame, nous nous souvenons....

L'homme et la femme à l'évocation de ce souvenir échangèrent un regard amusé et complice.

- Malheureusement mon époux est décédé, mais je suis là avec mon père et sa famille. Je ne sais pas pour combien de temps nous sommes là, je souhaiterais donc vous réserver 3 chambres, dont celle que j'occupais avec mon compagnon.

- Aimeriez-vous que ces chambres soient proches les unes des autres?

- Si c'est possible oui .

- Même si nous avons un peu plus de monde que lors de votre dernière venue, vous avez de la chance, j'ai bien 3 chambres en continu dont celle que vous souhaitez j'imagine pour vous. Par contre, vous connaissez le principe les chambres sont à payer d'avance chaque jour.

- Tout à fait. Voilà déjà le montant de la réservation pour jusqu'à demain. Pensez-vous que quelqu'un pourrait nous aider à monter à l'étage la civière dans laquelle se trouve mon père qui est malheureusement inconscient ?

- Oui je vais vous trouver deux hommes forts pour vous aider. Voilà les clés pour les 3 chambres.

L'aubergiste héla deux hommes qui acceptèrent de monter la civière jusqu'à sa chambre ce qui fut fait non sans mal. Fafounet pesait un certain poids et il fallait faire attention de ne pas accrocher sa blessure dans l'escalier.
Roxetrice se demanda encore comment elles avaient fait avec Nikita pour le descendre de la chambre des délices de minuit.Mais que ne fait-on pas quand il n'y a pas d'autre choix.
Ils prirent le temps de l'installer dans le lit. Elle fit demander un berceau pour le bébé qui fut installé près de Fafounet. Roxetrice redescendit et demanda à l'aubergiste :

- Pourriez-vous nous préparer de quoi manger en salle pour 3 personnes et un de vos bouillon pour mon père que nous lui monterons tout à l'heure, parce que même inconscient il va bien falloir qu'il mange un peu.

- A votre service ma p'tite dame. Je vois que vous êtes bien ronde, un heureux évènement à prévoir ?

- Oui mon bon monsieur, et j'ai envie de croire que cet enfant a été conçu lors de notre séjour chez vous.

- Allez ma p'tite dame, on va s'occuper de vous et de votre famille le mieux possible.

- Connaissez-vous un médicastre, ou une soigneuse qui pourrait venir s'occuper de la santé de mon père ?

- Je vais vous trouver quelqu'un.

Roxetrice sortit chercher Nina et Nikita et leur dire qu'elles allaient pouvoir s'installer dans leur chambre et s'installer pour déjeuner.

Auberge "Au Pré-salé" le 4 mai

niki suivie roxe qui connaissais bien le lieu les serviteurs de Nina avaient était forts utile pour s'occuper des bagages et des enfants elle se dit que sa sœur avait bien fait d'emmener tout son petit monde , elle demande a l'aubergiste si il y avait des commun pour les domestiques de sa sœur qui ne se préoccupais pas de grand chose a pars de roucoulée avec son nouveau soupirant

monte dans la chambre et regarde si son époux est bien installé contrôle d'un baisé sur son front sa fièvre ,sourit et se dit toujours sa la fièvre n'augmente pas et lui semble même que celle si a baisser légèrement

dépose son petit bout dans son lit et s'affaire a refaire les soin de son fafou , enlève délicatement bandage et compresse de plante que la médicastre a poser et regarde la plaie le nettoie doucement passant délicatement entre les points et constate que la plaie et propre qu'elle ne s'infecte pas remet une compresse de plante pansement et bandage qu'elle ne sers pas trop suivant les indication de la médicastre

embrasse tendrement son époux et s'affaire a vidée ses malles

-Le 3 dans la matinée après la découverte de la disparition des Louis--

Firenze était en pleine réunion au conseil d'état avec sa douce et le lieutenant à la prévoté lorsque la reyne avait fait son apparition furieuse.
Les portes claquèrent à son arrivée sous l'effet de sa colère. Firenze ne put que comprendre son état une fois qu'elle eut expliquer qu'une très grosse somme d'argent avait disparu des caisses de l'état.

Firenze était atterré ne comprenant pas comment sa soeur avait pu laisser faire ça...oui parce que la somme dérobée l'avait était en Normandie où elle gérait depuis peu l'intendance. Il n'osait imaginer que c'était elle-même qui avait commis ce vol..

La réunion fut donc ajournée pour traiter de l'urgence de la situation.

Comment faire son travail alors qu'il s'agit de sa propre soeur...un temps il avait pensé tout plaquer...mais il n'avait pas pu...il avait travaillé si dur pour en arriver là que ce n'était pas le moment de tout lâcher. Il se promit tout de même de lui écrire une lettre en entendant il rédigeait les ordres de mission pour les régiments. Rien ne devait-être laisser au hasard. Il fallait à tout prix les empêcher de quitter le sol du Royaume. Aussi toutes les routes allaient être surveillées ainsi que les voies maritimes. Un courrier avait même était envoyé au prince Aimelin.

Journée de l'arrivée : le 4 mai à l'auberge.

Nina et Nikita étaient montées dans leur chambre respective.
Roxetrice n'avait encore pas pris ce soin. Elle n'avait qu'une modeste malle, étant sensée ne rester quelques jours et retourner à Amiens.
Et voilà que le destin en avait décidé autrement.

Roxetrice se rendit dans la chambre de Nikita pour voir ce que devenaient son père et son frère.
Elle toqua à la porte, attendit la réponse de Nikita, et entra :

- Coucou Nikita, alors bien installée ?

La chambre donnait sur la mer comme la sienne. Elle pensa à son époux décédé bien trop tôt et se mit à caresser son ventre, le bébé lui signifiait qu'il était là. Avait-il compris sa détresse ? Une crampe la plia en deux, mais Nikita ne vit rien trop occupée à allaiter son petit. Elle se ressaisit et prit son plus grand sourire.

- Comment vas-tu, comment vont le bébé et Fafounet ?

Roxetrice s'approcha et s'assit sur le lit près de son père qui semblait dormir d'un sommeil paisible.


- J'ai commandé un bouillon pour Fafounet, nous arriverons peut être à le faire manger et boire.
Il ne faudrait pas tarder un repas nous attend en bas.


Roxetrice s'inquiétait un peu, l'enfant envoyé au Palais du Pape n'était toujours pas revenu. Elle se demandait s'il était arrivé où il en était. Elle se disait que la perspective d'avoir 4 louis à son retour devait lui donner envie d'arriver au but de sa mission.

Amiens le 4 Mai

Eristern avait travaille tard ce soir la quand on vint lui ammenner un ordre d'arrestation , encore un ce dit il , il le pris et commença a le lire , il y avait beaucoup de monde pour une fois en plus c'etait un vol d'une grande importance 400000 Louis avait ete derobe , quand il vit la somme il n'en croyait pas ses yeux avec tout ça il aurait put en construire des bateaux . Enfin , il allait partir ce disant qu'il verrait ça demain a l'aube quand un messager vint lui apporter une missive du SEG , il fallait qu'il se rende a EU dans les plus bref delais avec certains de ses hommes enfin pour etre plus precis certains de ses femmes , il convoqua donc le Quartier Maitre Amelia et le Matelot Zaza

Comme a leur habitude elles arriverent prestement
Soldat je n'ais pas le temps de discuter nous partons immediatement a Eu et quand je dis immediatement c'est juste le temps de preparer vos affaire , ensuite nous prendrons les chevaux je veux y etre le plus rapidement possible , alors soldat a vos paquetage je vous attends dans la cour dans 5 Min

Eristern n'avait pas laisse beaucoup de temps a ses soldats pour ce preparer mais il n'en avait pas , il fallait faire vite
Avant de partir Eristern avait donner des ordres pour que deux fregates se rendent a Eu pour bloquer le port afin que les fuyard ne puissent prendre la mer , les bateaux seraient arrive avant eux
[...]

Le voyage avait ete une horreur , voyage la nuit n'etait pas une facilite loin de la enfin le 5 Mai en fin de matinée ils etaient a EU , la traque allait pouvoir commencer mais avant Eristern laissa du temps a ses soldats pour ce reposer , lui il commençait a se renseigner pour savoir ou les touver

après avoir fini les soins de son époux elle prend son petit qui s’était éveillé elle n'avais jamais vu d'enfant si sage elle regarde et s’émerveille devant se petit être, le prend et lui changer ses langes, elle sais qu’après la tété il va s'endormir sur son sein et ne veux pas prendre le risque de le réveillé

s'installe sur un fauteuil qu'elle a pousser devant la fenêtre pour voir la mer et lui donne son seins qui regorge de lait

a se moment elle entend frapper a la porte

oui entrer

elle sourit a la vu de sa belle fille qui viens aux nouvelles

comme tu vois oui on est bien et on a une vue magnifique sur la mer en d'autre circonstance je me serais régaler d’être ici

j'ai changer le pansement de ton père la plaie et propre et j'ai l'impression que la fièvre a baisser un peu

dit moi toi qui et déjà venu ici c'est tu si il y a un médicastre dans le coin ?? car bien que l’état de ton père semble stable j'aimerais bien qu'un vienne voir sa, et te voir aussi je trouve que ton ventre a baisser un peu et je ne voudrais pas que ton petit arrive maintenant c'est encore bien trop tôt
j'aimerais que après le repas tu te repose un peu on a eu bien trop d’émotion et il te faut du repos pense au bébé

caresse la tête du petit puis reprend

au faite a tu des nouvelles de jean ?

Amiens le 4 Mai

C'était l'aube, et l'amiral Eristern l'avait convoqué ainsi que le matelot zaza.

Amélia se mit au garde à vous face à eristern, lui faisant le salut militaire. Celui-ci leur indiqua alors l'ordre de mission.

Bien, Amiral !

Elles avaient pour ordre de partir pour Eu immédiatement. Aussi, Amélia se dépêcha de préparer son paquetage et monta un cheval puis galopa en suivant l'Amiral jusqu'à destination.

... le 5 Mai

Amélia avait fait le chemin au côté de l'Amiral. La route fut longue et fatiguante. Les chevaux devaient être tout autant fatigués.
Ils étaient enfin arrivés à Eu.

L'Amiral les laissa se reposer quelques instants.

Fafounet dormait paisiblement. Il ne ronflait même pas......Mais ça commençait à être inquiétant tout de même.
Le petit lui tétait goulument.

- Nikita rappelle moi comment s'appelle mon petit frère ? J'ai oublié dans tout ce mouvement, excuse-moi ! Il est magnifique et tellement sage. Il sera un bon compagnon pour mon enfant s'il arrive à naitre. Quelques-fois j'ai peur.

Nikita semblait inquiète elle lui conseilla de se reposer et souhaitait qu'on trouve un médicastre pour venir voir Fafounet. .

- oh oui je sais tout ce mouvement m'a fatigué mais je n'ai toujours pas de nouvelle du gamin, donc de Jean. Cela commence à m'inquiéter. Je ne pourrais pas me reposer tant qu'il ne sera pas prévenu de ce qui se passe.

Tu sais je ne comprends pas cet acharnement de la Reyne. Ce duel, ce désir de vengeance, cette envie de voir Fafounet mort. Je ne comprends pas comment ça a pu arriver.

Enfin....... oui tu as raison, j'ai déjà demandé au tavernier. Il m'a dit qu'il ferait venir quelqu'un. Mais je crois que je vais renvoyer un billet à Jean pour lui demander de nous faire envoyer un médicastre et peut être d'envoyer quelqu'un pour le bénir par précaution.

Roxetrice regarda Nikita allons déjeuner ensuite si le gamin n'est pas de retour, j'irai moi-même porter un billet à Jean. J'espère que tout cela s'apaisera rapidement

elle l’écoute ressent l'angoisse de sa belle fille ,ses yeux cernés sa pâleur on ne pouvais en le regardant douté une seconde de son angoisse profonde

le petit c'est Charles Édouard nom que l'on a choisi ensemble avec fafou

elle soupire quand sa belle fille parle de la Reyne

tu sais je pense que cette reine déteste les gents faible ou toute personne qui n'est pas en accore avec elle

moi elle m'en veux car j'ai laisser mon poste

mais j'attendais ton petit frère est les voyages mettait de plus en plus pénible , je dois aussi t'avouer que le comportement de ton père que l'on se faisais un plaisir de me conté lors de mes voyages, mon complétement enlevée le gout, je n'aspirais qu'a une chose rester chez moi

elle me trouve faible est insipide ,elle trouve anormal que je soutienne malgré tout ton père, mais je l'aime depuis toujours, puis il a toujours de très bonne excuse pour partir en voyage

elle esquisse un sourire et regarde tendrement son époux

fonce des yeux quand celle si parle de faire bénir son époux , pas une minute elle n'avais pensée que l'issu pouvais être fatale un pincement se fit au niveau du cœur et lui répond d'une voix a peine audible

oui, oui, tu as raison puis nous pouvons aussi prié que dieu nous soutienne dans notre épreuve

Lorsqu'elle descendirent, il était plus l'heure de Dîner que de déjeuner.
Mais qu'importe, le tavernier, qui semblait avoir un excellent souvenir du passage de Muguet n'avait qu'une hâte, celle de faire plaisir à la future maman.

Il leur avait préparé un menu digne de Gargantua, enfin comparé à l'appétit des jeunes femmes présentes autour de la table.
- Un potage
- Un coq au vin accompagné de légumes
- Un plateau de fromages divers secs et frais
- Une tarte aux fraises

- Mais vous nous gâtez Tavernier. A propos je pense que notre séjour va se prolonger un peu.

- Mes Dames, l'une allaite un bébé, l'autre doit rendre fort le sien pour affronter son arrivée au monde, il vous faudra bien vous nourrir. Et je vais y veiller. Que fait la troisième dame ? Elle va vous rejoindre ? Vous restez le temps qu'il faut, tant que vous payez bien sûr, après tout je suis d'abord un commerçant.

Roxetrice sourit, préféra laisser répondre Nikita concernant sa soeur . Elle interpella le tavernier :

- A propos Tavernier, auriez-vous vu un jeune gamin qui devait me ramener une réponse provenant du palais ?

- Je n'ai pas vu de gamin de la journée ma p'tite dame. Mais si tel était le cas je vous ferai prévenir de suite, l'une ou l'autre.

- Savez-vous comment on peut contacter sa sainteté le Pape Valentin ?

- Oh mais il est passé manger il y a peu ici. Vous pouvez avoir la surprise de le rencontrer, il est très fréquentable.

- Nous le connaissons très bien vous savez. C'est lui qui a procédé à mon baptème..... Enfin, il était Cardinal à l'époque, et s'appelait encore Jean D'Anjou. Ah là là je ne m'y ferais jamais.....

Sujet: Re: manoir de nina Mar 3 Mai - 18:19

elle lui sourit quand il prend sa main et le suis sur le fauteuil elle ne savais se que lui réservais son destin mais pour le moment il avait mis se jeune homme sur sa route

il était temps de tournée la page de ré-ouvrir son cœur, qui en se moment accélérais dangereusement,et se laissa fondre dans un baiser brulant

elle était rêveuse comme toujours lorsqu'elle était dans les bras de son bien aimé, le feu crépitait dans la cheminée et une douce lueur orangeait de douceur inondée l'intimité des 2 amoureux.

Elle entendait sa respiration apaisé, a peine troublée par le crépitement des flammes. Elle soupira d'aise lorsque tout à coup elle entendit les pas de cavalcade d'une compagnie qui arrivait avec force et grand bruit on appela.

Elle crut reconnaitre la voix de nikita sa sœur. elle rajusta sa tenue et a peine avait elle rajusté un peu ses effets, des pas résonnèrent dans le couloir menant au salon , et Nikita fit irruption

nikita

elle entra en trombe

-Nina vite! il faut fuir! on veut nous emprisonné pour une faute dont je ne connais la teneur.
elle , elle en veux a toute la famille

Nikita ne pu s’empêcher de lancer un regard en connaisseuse sur l'homme qui se trouvait en compagnie de Nina et lança un un clin d’œil admiratif a sa sœur.

-allons le temps presse, on ne peut tarder, notre fuite et organisé, un bateau nous attend au port pour nous faire passer au mont gaulfiere.

roxe m'attend avec fafou on y va dépêche toi et rejoins nous au port au plus vite

elle fait demi tour et repars aussi vite qu'elle est arriver


Nina appelle son majordome qui était au talons de sa sœur ,une femme de son statut ne pouvait fuir comme une saltimbanque est une voleuse.

Maurice préparer mes bagages pour plusieurs jours, nous partons et prenons le bateau
vous aussi faite vos bagages rapidement on parts tous je crois capable la reine de nous emprisonnés dite a joseph de préparer la diligence que vous prendrez avec les enfants

allez vite vite

elle soupire

Si encore elle savait ce qu'on lui reprochait.

- Nikita mais que se passent il? de quel crime sommes nous accusée?

elle n’eus le temps de continuer que nikita était repartie

elle connaissais sa sœur savait que pour se mette dans cette état l'heure devais être grave

elle se tourna vers l'homme qui avais su conquérir son cœur, d'une voix angoissée elle lui demande

claude vous avez entendu ma sœur ? il me faut partir au plus vite

elle n'ose lui demander la question qui lui brule les lèvres viendra il avec elle

zaza

je suis la mon Amiral j'ai louper la diligence je suis venu a pied toute o garde a vous

soirée du 4 mai à l'auberge du pré salé


Nina et son prétendant Claude étaient descendus pour dîner.
Autour de la table se retrouvaient donc Roxetrice, Nikita, Nina et Claude.
Chacun essayait de ne pas évoquer le sujet brûlant, puisque personne ne savait rien, personne ne comprenait.

Le repas était copieux et excellent.

Roxetrice regarda Nikita, et lui dit :

- Niki, je monte voir Fafounet, je vais essayer de lui faire prendre un peu de bouillon. Si le petit à besoin de toi je t'appellerai. Profite un peu de ta soeur. Elle rajouta
Demain si je n'ai pas de nouvelle de Jean j'irai au palais demander une audience.

Roxetrice récupéra le bol de bouillon auprès du tavernier en le remerciant de cet excellent repas et monta les escaliers. Elle arriva à la chambre qu'elle partageait avec Muguet. Cela attendrait un peu, elle rentra dans celle d'à coté. Charles Edouard dormait paisiblement dans son berceau.
Roxetrice s'approcha de son père, posa le bol sur le chevet, et tenta de lui parler, pour voir s'il se réveillait.

- Alors mon Papounet, ça fait un bout de temps que tu dors. Quand est ce que tu vas enfin émerger ? Dame Marianne de Bourbon nous a dit que tu serais hors de danger si la fièvre baissait, et lorsque je touche ton front, je sens bien que la fièvre a baissé. Bon, je vais essayer de te faire boire un peu de bouillon. Pour cela je vais essayer de te relever un peu .

Roxetrice prit des coussins les mis à coté de Fafounet, elle se releva pour utiliser toutes ses forces. Elle essaya de passer ses bras au niveau du haut du dos de son père, elle respira un grand coup et le tira, ce qui le fit se soulever et se retrouver presque assis .
Avec grand peine, elle tenta de le maintenir ainsi . Elle était pliée en deux. Elle pris les oreillers et les plaça à l'arrière de Fafounet. Puis doucement, elle le fit redescendre . Les coussins le maintenait dans cette position du presque assis, qui lui permettrait de ne pas s'étouffer au passage du liquide chaud.

Lorsqu'elle fut sure que Fafounet était bien calé elle respira et se rassit.
Un nouvelle crampe la fit se mordre les lèvres de douleur.

* Mon Dieu, le bébé.* Elle s'adressa à son futur enfant en murmurant.
- Un peu de patience mon petit. Il n'est pas l'heure encore. Je te promets d'aller me reposer pour que tu puisses te sentir mieux, mais laisse moi m'occuper de ton grand-père. Quand je serais sûre qu'il a mangé un peu, j'irai m'allonger.

Roxetrice prit le temps de reprendre une respiration normale puis se saisit du bol et de la cuillère. Elle goûta le liquide qui était juste à la bonne température. Roxetrice avait pensé que Fafounet accepterait mieux le bouillon s'il était coupé de vin. Elle fit la grimace en gouttant, puis porta la cuillère aux lèvres de Fafounet. Elle força le passage, sa bouche s'entrouvit, et lorsqu'elle fit glisser le liquide doucement, Fafounet ne s'étouffa pas et déglutit.
Roxetrice renouvela l'opération jusqu'à ce que le bol soit vide. Elle était soulagée que son père ait quelque chose dans l'estomac. Cela l'aiderait surement à guérir et qui sait à se réveiller.
Roxetrice l'espérait vivement.

Elle reposa le bol mais laissa Fafounet dans cette position surélevée pour qu'il puisse digérer au mieux. En attendant que Nikita remonte, elle décida de veuiller les deux hommes de la famille. Elle s'installa dans le fauteuil près de la fenêtre et ferma les yeux.

soirée du 4 mai à l'auberge du pré salé


niki etait a table avec sa sœur , elle mangea peu elle n'avais trop faim , sa sœur occuper avec sa bouteille de calva , elle se demandais si sa sœur se rendais compte qu'il n’était pas ici en vacance
pose sa serviette et s’excuse

je te laisse je vais voir mes hommes et me reposer un peu, a plus tard

elle monte dans sa chambre et trouve roxe dans le fauteuil somnolente, elle lui trouve mauvaise mine et espère qu'un médicastre viendra bientôt

allez va dans ton lit tu y sera mieux pense un peu a ton enfant je vais rester ici a surveillé mes hommes

regarde le bol vide et souris

je vois que tu as réussi a le faire boire un peu tu as vus la fièvre baisse

se penche et embrasse le front de son époux

allez sois raisonnable je te promet si ton père se réveil je t’appelle de suite

, gentiment mais surement elle la fait sortir de la chambre

une fois parti elle regarde le petit qui dors calmement et remet son époux correctement allonger, s'allonge a ses coter , son souffle régulier la rassure , elle le regarde priant dieux de le sauvé et s’endort bien plus épuisée qu'elle ne voulais le montrer , une main poser sur son torse

fin de soirée du 4 mai

Roxetrice s'était endormie. Nikita en remontant, la réveilla et la renvoya se coucher, lui promettant de l'avertir dès que Fafounet se réveillerait.

C'est avec bonheur et délice qu'elle retrouva la chambre où elle avait partagé tant de doux bonheur avec son Brin de Muguet. Elle se prépara pour la nuit, se coucha et s'endormit d'épuisement après avoir parlé à son petit.

Fafounet s'agita dans son sommeil et remua sur son lit, l'esprit agité par des images floues qui dansaient comme des succubes dans les salons de l'enfer.

Visions subliminales et chuchotement animal dans la tour de cristal où gît un géant mort.
Souvenir éphémère d'une vie blême, solitude transparente de ces longs jours d'attente où il fixe ses peines et revient sur les lieux où il pleut quand il pleure.

Nostalgie de ces jours sans haine et sans amour au fond des villes mortes avec de la folie dans les yeux des monstres délicieux qui le traversent. Ils patrouillent dans son crâne, ils contrôlent son âme et lui servent d'escorte

Vibrations pathétiques de cette vie sans joie où les où il court au hasard comme un dé sur un tapis où il joue, impair, noir et manque.
Enfin, voyage au bout du rêve vide sur lequel il scelle ses lèvres aux secrets d'un miroir au travers duquel lui parvient sa voix désincarnée dans l'ombre surannée et grise de sa mémoire.

Comme un arbre mort au milieu du désert, sa vie n'était qu'une valse noire dans le silence des pierres.

a nuit du 4 au 5 mai

niki qui s’était endormie la main sur son torse le sent bouger et se réveil le cœur battant la chamade , elle se soulève et le regarde , son visage et crisper on peu y voir le tourment qui l’étreint

mon cœur, mon amour ,calme toi mon fafou on et a l'auberge tu sais celui ou tu ma emmener un jour sur le mont gaulfier te souviens tu de cette nuit d'amour que l'on a passer ici mon aimé ? de la robe que tu ma détruite

elle sourit se remémorant leurs ébats et le nombre de robes qu'elle a du jeter

tu sais notre petit Charles Édouard et plus gourmand et plus assoiffé que toi mon cœur, il ne lâche plus mon sein quand il en tiens le bout

elle lui parle doucement d'une voix rassurante ,lui caresse tendrement le visage , elle lui prend la main qu'elle caresse doucement de son pousse d'un geste rassurant , et apaisant comme une maman ferais a son enfant

elle observe le moindre de ses mouvement et continu ses tendre caresses ,elle espère tellement qu'il va s’éveiller et l’étreindre

mon amour réveil toi parle moi

[5 mai à l'aube ]

Fafounet ouvrit un oeil et lentement scruta le monde étrange qui l'entourait.
Murs et plafond blancs d'une chambre propre qui sentait la mer. Une chambre inconnue, un lit inconnu, lui-même ne se reconnaissait pas. Un bras droit impossible à bouger, une main gauche qu'il porta devant ses yeux, une main qui ne lui disait rien.
Il referma son oeil et tenta de se pencher dans ses souvenirs, d'ouvrir sa memoire et d'en ramener quelque chose à quoi se rattacher.
Mais rien ! Un trou noir, aussi noir que le plafond de la chambre était blanc. Ou alors c'était sa mémoire qui était blanche, comme celle de l'enfant qui vient de naître.

Il ouvrit la bouche et fut surpris d'entendre des sons ordonnés en sortir et résonner sans ses oreilles même si la voix lui était in connue :
Où suis-je ? ... Il y a quelqu'un ?

Il remua les jambes tout en tentant de se redresser. C'est alors qu'il sentit un corps allongé près du sien.
Avec difficultés il se tourna pour découvrir sur l'oreiller une tête blonde sagement endormie. Une femme !
Il porta sa main valide à l'oreille pour la gratter avec insistance.
Voyons voir, se dit-il, qu'est ce que tout cela signifie ?

Il se creusa la cervelle sans rien trouver de qui satisfaire sa curiosité. Il fut tenter de réveiller la blondinette et de lui demander ce qu'elle faisait là et tant qu'à faire, ce que lui-même faisait ici, dans une chambre inconnue avec une femme inconnue.
Il souleva les draps pour voir de plus près à quoi ressemblait cette créature. Peine perdue, elle était engoncée dans une chemise de nuit austère et cadenassée en haut comme un bas, de quoi dissuader une bande de soudards lubriques et excités.
Déçu il remit les draps en place et s'aperçut soudain qu'il avait faim !

Son estomac tapait des pieds dans l'espoir de se faire entendre et réclamait quelques arriérés qui lui étaient dûs et dont on l'avait privés pour des raisons que Fafou ignorait :

Quand est-ce qu'on mange dans ce pays ? s'écria-t-il.