maison de Anjhely 88r rue , sacré coeur

Rho!!! je crois oui de la tarte à la grimace.

Elle éclata de rire jusqu'à ce qu'il lui prenne la main. Elle ne pouvait empêcher son coeur de battre la chamade quand il la regardait ou la touchait. Elle aurait pu rester des heures ainsi mais elle savait aussi que leur temps était comptés. Chaque minute, chaque seconde qui s'égrénait était une de moins qu'ils auraient à passer ensemble. Mais à cela elle ne voulait pas penser, elle voulait profiter du temps présent.

Elle lui sourit et lui dit :

Bien sur mon coeur! Une tarte tatin c'est ma grand mère qui me l'a appris quand j'étais petite. J'espère que tu aimeras!

Elle se leva pour aller chercher la tarte qui était encore tiède dans la cuisine et la rapporta. Elle la pose sur la table.

Elle est encore tiède! Tu veux la goûter tout de suite ou bien tu préfères attendre un peu et faire autre chose?

Elle lui fit un sourire plein de malice.

Firenze a écrit:

_Va pour de la tarte !

Se lève et la prend dans ses bras pour la serrer contre lui.



_Autre chose comme ?

Citation :

Elle lui sourit.

Je ne sais pas tu n'as pas une petite idée?

Il savait qu'il ne devait pas mais il l'embrassa au coin des lèvres en lui souriant.

_Il parait que c'est meilleur quand c'est chaud j'en veux bien un morceau.

Il l'embrassa franchement cette fois calant ses mains sur ses hanches.

un morceau de quoi? De tarte ou de moi?

Elle sourit et répondit à son baiser

En lisant le désespoir sur son visage, elle ne savait que faire. Elle savait qu'il luttait pour ne pas céder à leurs désirs communs. Que devait -elle faire? Faire le premier pas ou bien laisser les choses suivre leur cours. Elle ressentait le désir qu'il avait d'elle, tout son corps l'exprimait. Elle aussi le désirait mais devaient ils succomber à ce désir qui les déchirait?

Pour le réconforter, elle lui sourit et l'invita à se rasseoire et prendre un morceau de tarte qu'elle lui servit.

Et bien commençons par un morceau de tarte et puis nous verrons ensuite pour moi.

Elle alla se rassoire.

Firenze se rassit à son invitation et la remercia intérieurement de n'avoir rien fait d'autre puis il prit le morceau de tarte et du reconnaitre que cela était bien bon, peut être un peu chaud mais très bon.

_Très bon cette tarte.

Il se lécha les doigts une fois sa part terminée se demandant ce qu'ils allaient faire maintenant.

_Tu veux que je t'aide à débarrasser ?

Ça ne le gênait aucunement de participer aux tâches ménagères

En mangeant sa part de tartre, elle dut admettre qu'elle aurait été meilleur un peu moins chaude. Mais comment faire? Que faire? Devait-elle céder? Quand il lui demanda s'il pouvait l'aider à débarrasser.
Elle sourit en se disant que ça ferait passer le temps et qu'aumoins pendant ce temps là ils éviteraient certaines pièces de la maison....A moins que....? Non, ce n'était pas possible!

Si tu veux mais tu sais je peux m'en sortir seule

Elle prend les assiettes et les couverts qu'elles emmènent dans la cuisine.

Elle revient un peu plus tard avec un plateau sur lequel elle a posé deux tasses de café, un pot de lait et du sucre.

Excuse moi j'ai oublié de te demander si tu voulais du café alors j'en apporte au cas ou.

Elle luis sourit.
Comment la suite allait -elle se poursuivre. Que devait elle faire? Qu'allait il faire?

Finalement il était resté assis à table pendant qu'elle débarrassait puis il avait rejoins le salon où il avait allumé une bonne flambée puis gagnait le canapé pour se détendre un peu.
Et c'est affalé qu'il la vit revenir avec un petit plateau et toujours ce petit sourire.

_Du café non merci pas le soir je ne dors pas sinon déjà que j'ai tendance à peu dormir mais je veux bien un peu de lait.

Il se sentait un peu mieux.

_Viens t'assoir lui dit-il une fois qu'elle l'avait servi, il y avait suffisamment d'espace pour qu'elle prenne place à côté de lui et reposa la tête sur son épaule une fois assise.

ANJHELY alla le rejoindre sur le canapé et se blottit dans ses bras. Ils étaient bien là devant le feu qu'il avait allumé. Elle prit sa main dans la sienne. Que devait elle faire? Elle avait envie... tellement d'envie... tellement de peur... Que faire....?

Je me sens bien comme ça avec toi mon coeur.

Elle sentit ces bras se resserer autour d'elle. szon coeur battait la chamade. Son parfum, la chaleur de son soufle sur sa peau tout la faisait vibrer d'une façon qu'elle n'avait jamais connu. En lui prenant la main et en la déposant sur son torse, elle savait qu'elle s'aventurait sur une terre inconnue. suit ton instinct lui avait elle dit. Mais que lui disait son instinct. Elle avait envie de sentir la chaleur de sa peau sous ses doigts, le sentir frémir par ses caresses comme elle l'avait déjà sentie alors elle se lanca. Doucement, elle glissa sa main sous sa chemise, caressa doucement son torse quand elle sentit ses lèvres sur son cou elle ne put réprimer un frisson, elle ferma les yeux et s'abandonna à cette nouvelle sensation. Elle était bien. Elle finit de lui déboutonner sa chemise et descendit plus bas au niveau de son ventre. Elle sentait leur désir naissant. Elle avit peur mais cette peur l'excitait. L'inconnu l'attirait comme un papillon par la lumière. Elle savait qu'elle risquait de se brûler les ailes mais elle était prête, prête pour l'homme qu'elle aimait.

ANJHELY savait qu'elle était entrain de se brûler les ailes mais elle ne pouvait que céder à ce désir qu'elle avait sentir sa peau sous ses doigts. Elle avait peur mais il était patient et prenait son temps et elle lui en était gré.

Après qu'il eut ôté sa chemise, elle sentit son regard que son regard avait changé. Il était rempli de tendresse mais aussi de désir. Ce même désir qu'elle ressentait mais qui lui faisait peur. Puis lorsqu'il entreprit de faire glisser une à une les bretelles de sa robe un léger frisson la parcouru bien qu'elle n'eut pas froid. Chaque baiser qu'il déposait sur sa peau dénudé l'emplissait d'une chaleur douce. Son corps à demi dénudé, chauffé par les lueurs de la cheminée lui faisait penser à du pain d'épice doré qui sortait du four tout chauds. Elle avit envie de croquer dedans. Ce n'était pas la première fois qu'elle voyait un homme torse nu et le sien non plus elle connaissait chacune de ces cicatrices mais cette fois elle avait un désir qu'elle ne connaissait pas.

Elle se retrouva à moitié nu devant elle. Elle avait peur aucun homme ne l'avait jamais vue ainsi dévêtu. Un léger malaise l'assaillit. De ses bras virils il la souleva pour la transporter devant la cheminée. Ils étaient là l'un devant l'autre, elle le regardait se demandant ce qu'il allait se passer maintenant même si elle pouvait s'en douter. Tout en la caressant, doucement, il finit de la déshabiller ainsi que lui même. Ils étaient là nus comme au jour de leur naissance. Elle ressenti un léger malaise devant cette situation angoissante, elle prit une profonde inspiration évitant cette zône qui lui était inconnue et lui faisait si peur. Il se rapprocha et l'embrassa longuement. Leurs deux corps étaient l'un contre l'autre, jamais elle ne s'était trouvée dans cette situation : que devait -elle faire ou dire? Finalement il la déposa sur le tapis. Elle le regardait d'un regard qui en disait long sur ce qu'elle ressentait. A la fois la peur mais aussi ce profond désir d'aller plus loin dans cette "aventure". Une petite voix sortit d'un seul coup :
Mon amour dieu sait que je t'aime et combien je te désir mais aussi combien ma peur est palpable. Tout ce que je te demande c'est d'être doux et patient. CHacune de tes caresses font monter à l'intérieur de moi une chaleur inconnue et je ne sais comment réagir. J'ai confiance en toi et je sais que tu peux être le plus tendre des hommes.

-Anjh, je dirais que c'est normal ce que tu ressens...
ANJHELY essayait de se laisser à ses caresses mais elle devait admettre que la peur qu'elle éprouvait était plus forte. Elle aimait ses caresses sur son corps mais savait au fond d'elle qu'elle n'était pas prête. Il s'arrêta. Elle ne comprit pas et le regarda.

Il s'excusa après avoir regardé son alliance et la recouvrit et là elle comprit. Elle ne pouvait lui en vouloir enfin un peu quand même en lui laissant un peu d'espoir.

En le voyant pleurer comme un enfant, elle ne savait que faire. C'est vrai qu'il nepouvait pas qu'elle devait garder son honneur pour un homme qui l'aimerait elle et qui ne partagerait pas son amour entre deux femmes.

Une partie d'elle voulait le prendre dans ses bras mais elle ne pouvait pas elle se dit que le mieux était de le laisser tranquille. Elle se rhabilla, se rapprocha et lui dit :

Il vaut mieux que tu partes maintenant

Elle le regarda attendant une réaction

_Je le crois aussi.

Il récupéra ses affaires et se rhabilla.

_Je suis un salaud....adieu anjh

Il avait envie de se faire du mal en aurait-il la force ??...il se dirigea vers la porte sans lui adresser la parole il n'aurait jamais du venir ici il se retourna vers elle et tendit la main vers sa joue.

_C'était une erreur de vouloir rattraper le temps perdu...je m'en veux beaucoup de t'avoir donner de fausses idées je sais maintenant que ce n'est pas bien d'être avec deux personnes...pardonne moi ... un dernier regard et il sortit dans la rue Adieu

Anjhely sortit de la salle de bain et se retrouva nez à nez avec fafou.

Dites donc messieurs depuis quand on entre ainsi chez une dame. On ne vous a donc pas appris la politesse?

Voilà plusieurs jours après le bal d'Ambroise que Firenze était repartit sur Paris la laissant seule avec Alexia et Enzo. Ses journées étaient rythmées par son travail en tant que juge et celui de chancelière plus sa place de dame d'honneur. Elle avait très peu de temps à consacrer à ses enfants mais tout le temps qu'elle pouvait passer avec eux elle le passait.

Elle les voyait grandir, évoluer. Ils changeaient tellement vite et avait déjà leur caractère bien définis. Chaque fois qu'elle les prenait dans ses bras elle leur chantait des chansons ou leur racontait des histoires et souvent elle leur parlait de leur père. Comment ils s'étaient rencontrés, leur premier baiser...!Ce qu'ils faisaient dans l'armée et combien elle était fière de lui! Conbien il lui manquait! Tant de chose elle avait à raconter.

Il lui avait promis de revenir alors chaque jour elle guettait par la fenêtre son retour assis dans un fauteuil près de la fenêtre tout en tenant ses deux anges endormis. Elle repensait au bal auquel ils avaient assister la veille de son départ. Il avait été blessant mais elle savait que lui aussi souffrait alors elle l'avait laisser dévider sa colère même si chaque mot était un coup de poignard en plein coeur. Elle se rappela aussi de ses dernières paroles, avant de partir il lui avait dit tout bas qu'il l'aimait et c'est ainsi que ce jour-là elle s'endormit dans le fauteuil comme chaque jour.