117 delarosa

Arnoldo Roberto Delarosa arriva enfin en sa demeure, il la regarda et constata qu'elle était a son gout.
et il rentra

il rentra et alla droit a la cave ou il entreposait sa bibliothèque



ou il entreposai de précieux livre

Mercedes arriva chez son ami

oh belle maison mon ami
peut on visiter

Bien sur je vous fait la visite, entré

ils arrivérent dans le halle, ou Delarosa lui montra une peinture de son Pére Fabrizio Delarosa






il aimait beaucoup les secret

puis la fit entré au salon

il montra ensuite a ses visiteurs les tableau de la famille accroché a un mur du salon

il y montra d'abord l'oncle ormanio le frère de son père


narcoleptique de son état, le peintre n'a rien put faire, il a dut faire avec.

puis fut le tour de sa tente Abigail l'épouse d'ormanio

qui a force de regarder son mari dormeur, pris l'habitude de faire la grasse mâtiné le weekend, le mardi, le mercredi et le vendredi

il montra alors sa mère Rosa


un coureur de jupon, un vrai italien et un joueur de tarot et de dés ors paire, il ramassai une fortune au jeu et le dilapidait aussitôt pour les fille de joie, il a je croie ouvert un tripot recement a Venise, " la jambe en l'aire " qu'il s'appelle.

au coté droit c'est cousin mariano


un grand mangeur, et très gourmand, spécialiste du saucisson a l'ail, reconnu dans le monde entier pour ses recherche poussé sur la crème au beurre.....

puis tout en haut, deux portrait représentent les anciens

grand pere presco et grand mére flaminia


grand pére presco aimait les fleurs, il adorait leur couleur et leur odeur, il était parfumeur mais ne perça jamais dans le métier, on lui dit de lui que c'était un romantique raté

grand mére flamina, était alchimiste et était érudit, connaissait beaucoup de chose, trop de chose même, a un point quelle perdait la mémoire.

puit tout en haut, herculanum, le chien de la famille



il savait aboyer en rythme a l'écoute de la musique, un phénomène ce chien, pour la famille herculanum était un humain comme les autre, il mangeai a table était raffiné et se tenait droit, puis un jour un piano lui est tomber dessus, il rejoignit pascale en chantant une dernière note !

Mercedes regarda cette grande famille ,trouva les dames au visage sympathique
regarda lakik et lui demanda "tu as des tablraux "je vais aller faire un tour au grenier
quoi que j ai prur drd arraignees

puis voici la petite chambre du Rez de chaussez


puis le petit boudoir pour des fête un peu plus intime et moins solennelle


le petit salon

puis au 1er les chambres

puis la cuisine au RDC



qui donne sous un passage secret sortant a l'autre bout du jardin

Christinella avait décidé de rendre une petite visite au docteur.

Elle parcourut rouen, elle vira un peu ayant peu le sens de l'orientation, quand enfin
elle arriva au 117 du quartien Saint Clément. IL s'y trouvait une fort belle demeure.

Elle s'approcha et frappa à la porte.

Elle tenait à la main au cadeau pour le doc.

le Dr fort bien installé sur un fauteuil moelleux face a un feu déjà bien consumée dans l'âtre de la cheminée qui éclairai d'une lumière douce le coquet salon, lisait un recueil de poésie fort bien paraphrasé au divers style de prose, excellente lecture dans un parfait moments de solitude, loin des excitation des tavernes et tripot ou une certaine cacophonie nocturne braillard régnais d'habitude.

Malgré son titre de medecin, il se devait d'être curieux de tout, lisant de ci de la des ouvrage médicale pour parfaire sa formation allant de la philosophie au récit d'aventure et homérique dont il était assez friand. il avait par le temps de ses philanthrope lecture coquasse acquis une culture sans la moindre faille mais le cachais a son entourage pour ne pas trop attirez l'attention sur sa petit personne, et non loin de lui, un calice en cristal de Murano contenant un peu de vin venant tout droit d'un monastère franciscain des alentour de bordeaux trônais sur un petit tabouré.

il parcourait des yeux ses magnifique textes, submergé par une émotion de plaisir culturelle, lorsqu'il entendit toquez a la porte.

"si tard ? " se disait t 'il pour cachez un certain dérangement amére a sa contemplation poétique.

il l'achat son livre a terre en prenant bien soin de corné le haut de la page d'où il c'était arrêté, de jeter le reste de vin au feu don une gerbes éclata avec frenesi et de se mettre un veston léger de laine présentable a tout bon visiteur digne de recevoir et ouvrit précautionneusement la porte d'entrée.

Christinella entendit un bruit de pas.

La porte s'ouvrit brusquement, elle recula, serait ce que doc soit de mauvaise humeur.

"bonsoir doc, etait il trop tard, je te dérange ?"

"je voulais t'offrir un petit présent en gage de ................... mais je peux revenir demain".Mais à son regard elle comprit qu'il mourrait d'envie de voir son cadeau..


elle lui tendit donc le paquet qu'il déballa, laissant apercevoir




j'espère qu'elle te plait

"bonsoir doc, etait il trop tard, je te dérange ?"

" non, tu ne me dérange pas du tout, entre, ne reste pas dehors"

a la vue du visage angélique de son mystérieux visiteur venu en cet heurs si tardive, un sourire s' eguisea au milieu du visage de ce bon Dr laissant un passage sur le perron pour qu'elle entre.

mais la demoiselle fort jolie resta dehors et tenant avec excitation et plein entrain dans sa main un petit paquet enveloppé......

"je voulais t'offrir un petit présent en gage de ................... mais je peux revenir demain"


elle lui tendit donc le paquet qu'il déballa, laissant apercevoir une magnifique montre gousset richement ouvragé en or, quelle présent d'une splendeur éblouissant.

il ne pouvait pas rêver mieux, collectionneur amateur de petit engrenage et horloges de toute sorte, mais cet objet dépassait par sa beauté toute les autre.

Christinella entra et en souriant.


"Quelle belle demeure tu as ? tu me fais visiter stp ?"

Elle lui tendit sa main afin qu'il la guide dans la grande demeure.

il lui pris sa main afin qu'il la guide dans sa grande demeure.

il lui fit visité les salon ainsi que la toute nouvelle cuisine, une splendeur


puis lui montra les portrait de sa famille a la lueur d'une bougie.

il ne pouvais espérez mieux comme visite, une si jolie femme dans sa maison si tard, un genre de visiteur si rare a notre époque.

il lui montra aussi sa cave a vin, nouvellement installé pour sa consommation personnelle

lui montra aussi des objets d'on il avait ramenez au fil de ces aventures au bout du monde:

ce papillon d'inde prisonnier d'une pierre d'ambre


un vieux chapeau de pirates, a l'époque ou il était medecin de bord, il en avait soigné le capitaine des ses rhumatisme musculaire au larges des Antilles , il l'eus reçue en cadeau de sa gratitude



et plein d'autre chose, il avait tant a dire sur ses trépidante exploration, de ses rencontre, des aventures périlleuses, de ses émotion a la vue des ses objet gorgé de souvenir, et ses exploration l'avais conduit un peut partout sur le globe c'etait retrouvé a Rouen pour ce reposez un peu.

pui il lui fit visité ses nombreuse chambres...

Elle le suivit dans la visite de sa demeure sa main dans la sienne.

IL semblait heureux de tout lui montrer. Toutes ses trouvailles lors de ses explorations, elle
souriait, il lui paraissait qu'il le ne la voyait meme pas.

Elle ne dit rien et l'écouta.

Cette demeure était fort impressionnante.

Elle regarda et ne vit aucun bouquet de fleurs fort dommage pensa t elle cela égaie les pièces,
mais elle n'était point chez elle et ne voulait pas paraitre impolie envers son hote.

"Très belle demeure, doc" elle lui sourit.

Mercedes savait que son epoux etait venu visiter la
maison de leur ami

tiens tiens mon mari pense visiter ce tunnel
essaie une fois ha!ha !
elle glissa quelque chose dans sa poche
je t ai a l oeil ti !!!!!