[rp]le parc

Messages : 328 Date d'inscription : 18/01/2009 Localisation : eu

(image ) le parc

Messages : 27 Date d'inscription : 03/06/2012

Ares, Athena, Sekhmet dehors !
Ils mon écoutée ou c'est l'envie de sortir qui est la plus forte ?

Je la regarde souriant.

Ils vous ont écouté Nina, c'est une excellente chose que cela, ils vous ont identifié comme mon amie pour le moment

Nina apprenait vite les rudiments concernant ses nouveaux protecteurs, je me félicitais de cela tout en savourant pleinement maintenant sa présence et son environnement. Elle prenait même des initiatives logiques comme pour les gamelles dont j’approuvais de suite sa proposition.
Le manoir spacieux arrangé avec gout, le parc que je découvre riche en ses plantations venues de lointains pays souvent. Que tout cela doit être agréable à vivre aux beaux jours pensais-je.
Le vent de la mer devenait plus mordant, mais qu'importe nous avancions, la belle à mon bras, dans l'air vivifiant de cet fin d’après midi et les chiens prenaient possession des lieux les uns après les autres truffes aux vents, queues frétillantes, oreilles dressées à l’affût du moindre bruit autre que nos pas et nos voix.

Ares, Athena, Sekhmet, stoppppppppppp !

Je ne sais le pourquoi Nina ordonne l’arrêt mais les chiens se dressent et partent en coeur à vive allure sans répondre à son commandement, il me faut intervenir prestement.

Arès !!! Athéna !!! Sekhmet !!! Halte!!! Aux pieds!!!

Les molosses stoppent net leur course, babines retroussées, oreilles en arrières ils reviennent vers nous avec des retournements de têtes me démontrant que le lieu n'est pas vierge de présence humaine.

Assis !!!

Un mur de muscles s'interpose entre nous deux et le danger potentiel, je regarde Nina.

Nina , un de vos gens ou je lance la chasse ....

Messages : 328 Date d'inscription : 18/01/2009 Localisation : eu

Nina , un de vos gens ou je lance la chasse ....

Joseph, un de mes gents.. je lui et demander de faire une maison pour les deux chiennes

elle est soulagée quand ils arrête immédiatement a l'ordre de pandragons,elle a quand même eu très peur pour se pauvre joseph décidément les hommes de la maison était gâté en se jour

Regarde joseph qui a sauté prestement sur l’arbre le plus proche et reste accroché a une branche, se
demandant si un tremblement de terre a lieu en l’instant, il monte encore un peu plus haut dans l’arbre

Elle le regarde et éclate de rire

Bien svelte le joseph

S’approche de l’arbre avec pandragons et les 3 chiens mais joseph reste toujours accroché

Je pense qu’il faut habituer les chiens au plus vite à mon personnel sinon je crains le pire

Descendez joseph vous ne craignez plus rien maintenant

Lui sourit et regarde son coché jardinier, sauté de l’arbre et atterrir a distance convenable des chiens, les regardent avec méfiance

Je te présente joseph il s’occupe de tout dehors du jardin de mes chevaux

Sourit et flatte les trois chiens d’une caresse, elle ne peu s'empêchée de les admirer

Bien les chiens mais joseph fait parti de la maison, il ne faut pas le mangé, en plus il vous fait une
belle maison

Se retiens de rire pour ne pas vexer joseph

Regarde pandragons

Mais malgré tout je suis ravie je vois ainsi qu’ils protègent déjà le manoir

Messages : 27 Date d'inscription : 03/06/2012

Joseph, un de mes gents.. je lui et demander de faire une maison pour les deux chiennes

Le pauvre est perché tel le corbeau d'une célèbre histoire en son arbre, le regardant Nina rit de bon coeur à la vue de se spectacle hors du commun en ce lieu d'ordinaire sans surprises, je me joint à elle pour encourager le sieur Joseph à nous rejoindre maintenant.

Il reste prudemment sur ses gardes, il nous faut user de persuasion pour le convaincre de descendre de son perchoir de fortune improvisé. mais combien salvateur.

Je pense qu’il faut habituer les chiens au plus vite à mon personnel sinon je crains le pire
Descendez joseph vous ne craignez plus rien maintenant

Je prends le temps de figer l'homme en ma mémoire, tout en ne perdant pas un mot des propos judicieux de Nina.

Je te présente joseph il s’occupe de tout dehors du jardin de mes chevaux

Je salut Joseph d'un signe de tête et non de la main, je suis méfiant de l’interprétation d'un acte inconsidéré, la causalité m'interpelle souvent.

Enchanté sieur Joseph de vous rencontrer et quand je vois les merveilles de ce parc je ne peux que vous en féliciter.

Nina flatte les chiens de caresses et de mots, assis ils fixent toujours Joseph mais au son de ma voix m'adressant à lui, les babines reprennent leurs places, laissant juste des traces épaisses de baves sur les bords.

Bien les chiens mais joseph fait parti de la maison, il ne faut pas le mangé, en plus il vous fait une
belle maison

Mais malgré tout je suis ravie je vois ainsi qu’ils protègent déjà le manoir

Elle me regarde de ses pupilles brillantes de plaisirs et de joies

Prenant sa main en la mienne, je nous dirige vers Joseph, les chiens reprennent leurs positions respectives suivant notre pas imposé.

Nina, il ne protègent pas encore le manoir, mais simplement nous dans un environnement inconnu ou se présente un intrus, d'ailleurs je vais présenter aux chiens Joseph en ta compagnie pour qu'ils se familiarisent avec sa voix et son odeur

Une pensée vive comme toujours me vient à l'esprit, je la regarde.

Non Nina, c'est toi tout en les caressants, tu vas faire les présentations, moi je reste à tes cotés au cas ou le besoin se ferait ressentir, je connais bien les prémices d'une attaque en règle de ses trois là.

Nous nous approchons de Joseph sans un signe d’inquiétude, les chiens pourraient le sentir

Messages : 328 Date d'inscription : 18/01/2009 Localisation : eu

Non Nina, c'est toi tout en les caressants, tu vas faire les présentations, moi je reste à tes cotés au cas ou le besoin se ferait ressentir, je connais bien les prémices d'une attaque en règle de ses trois là.

Elle garde la main de Pendragons dans la sienne se sentant un peu plus rassurer ainsi et s’approche de joseph, regarde les chiens

Ares viens la mon beau

Se dit qu’elle va commencer par le plus gros

, elle sourit voyant le chien s’approcher et joseph lui ne rigole pas du tout de voir se chien de 100klgs si prés de lui, elle caresse ares

joseph tendez la main qu’il vous sente

La main tendue joseph ne bronche pas

Ares le regarde et le renifle

Bien laissez le vous sentir... caresse toujours ares... bien mon beau tu vois c’est joseph il fait parti de la maison

Maintenant vous lui parlé qu’il reconnaisse votre voix

Joseph s’exécute

Parfait joseph

Athéna ici au pied

Joseph deviens un peu plus pale en voyant la chienne

Sekhmet ici

Détendez vous joseph et gardez la main tendu

Caresse les trois chiens

Elle sourit joseph se détend il na jamais eu peur des chiens et il se prête au jeu rapidement et reprend le sourire

Appelez-les par leur nom, parlé leurs

Elle regarde joseph s’exécuter et les chien après l’avoir senti se détourne vite de lui

Bien parfait vous pouvez retourner a vos taches et n’oublier pas la viande ah aussi acheter chez le forgeron 3 grosse gamelles de taille pour mes bébés

Sourit et regarde Pendragons... alors c'était comment ?

Messages : 27 Date d'inscription : 03/06/2012

Serrant délicatement ma main en la sienne, Nina nous entraîne au devant du sieur Joseph blêmissant, bien loin de porter un sourire radieux sur son visage.
Arès en chef de meute, semble suivre les ordres de Nina, ses soeurs sont bien plus attentives aux miens, restant en garde oreilles dressées.

Ares viens la mon beau

Je me demandais, s'il ne faisait pas plus de cent kilos en le regardant évoluer, il me faudrait le peser un jour.
Je suivais la scène avec attention. En mes pensées une seule et unique phrase venait: tout doux Arès tout doux. Que j'adaptais aussi bien pour Joseph d'ailleurs: tout doux Joseph, tout doux.

joseph tendez la main qu’il vous sente
Bien laissez le vous sentir...

Joseph aussi peu rassuré qu'il est, fait preuve de courage, enfin je vois bien qu'il tremble légèrement, mais du moins il ne se sauve pas en courant ce qui lancerait de suite une chasse au jardinier en règle. Nina exécute la même opération avec Athéna et Sekhmet. Je dois quand même faire moi aussi un bon pas en avant pour qu'elles obéissent en duo, sachant parfaitement que ses deux là ne sont pas soeurs jumelles pour rien, elles ont toujours depuis leurs naissances traqué en binôme et bien qu'Arés soit un colosse il n'a pas le dessus lorsque ses deux là le prennent pour jouer. Quel trio que ses trois là, ils savent exactement quoi faire et comment, ils l'ont toujours su instinctivement

alors c'était comment ?

Nina me sourit, assez fière je pense de cette première prise en main, je la regarde en riant.

Et bien Nina, je dois dire que tu t'en sors bien pour le moment, mais penses à la paire Athéna, Sekhmet, elles sont finaudes. Arès semble bien te situer dans l'environnement.

Le vent prenait force et le soleil fuyait sur l'horizon, la nuit allait venir à grands pas..

Il est peut être temps de rentrer Nina et de continuer ainsi la visite des lieux et la présentation des gens de ta demeure. Je te laisse mener la meute, mais n'oublies jamais que d'eux tous c'est moi le plus dangereux.

J'éclate de rire en la regardant, sa main glisse sur mon bras...

Messages : 328 Date d'inscription : 18/01/2009 Localisation : eu

(dehors devant la porte de la cuisine )

Elle frissonne la température est loin d’être aussi agréable que dans le manoir bien chauffé et n’ayant pas de châle, tremble légèrement

Nina pour les plaisirs de la bouche ou autres, je me fais bien moins prier je vous l'assure....

Oui aucun doute, pas encore vus ton coup de fourchette, mais vu comme tu aime déjà le calva je suis sur que tu fera honneur a la cuisine de germaine

Se rapproche de la porte et lui sourit

On sera mieux dedans il ne fait vraiment pas chaud dehors

Fonce un peu les yeux

tu es sur qu’il ne fait pas trop froid pour les chiennes ?

Il remarque de suite les frissons qui me parcours et très galamment m’entoure de sa veste et laisse son bras autour de mes épaules
Un petit sourire de contentement aux lèvres et tout contre lui nous rentrons bien vite au chaud

Messages : 27 Date d'inscription : 03/06/2012

La curée se déroule bon train devant nos yeux, la nuit dans le froid de cet hiver donne frissons à Nina, il faut bien reconnaître que dès la disparition du soleil le climat devient pus mordant. Je regarde Nina épaules dénudées battues par le vent du large, je lui pose ma veste bien trop grande pour elle, telle une couverture, lui recouvrant les bras ainsi que son dos nu de protection. De petits mouvements de la main de haut en bas, je la réchauffe.
De par cette proximité son parfum vient flatter agréablement mes narines, elle sent les arômes des champs au printemps lorsque la nature s’éveille lentement au levé du jour après la rosée de la nuitée passée.

Nina tout sourires nous entraîne vers la tiédeur du manoir ainsi, s’inquiétant au passage pour les chiens en cette nuit dans le frima hivernal.

On sera mieux dedans il ne fait vraiment pas chaud dehors
tu es sur qu’il ne fait pas trop froid pour les chiennes ?

La tenant par l'épaule , calée tout contre moi je peux sentir son corps bouger contre le mien à chacun de nos pas, je la regarde.

Oui je pense que la douceur du manoir nous fera le plus grand bien, mais pour les chiens tu sais ils ne risquent rien, ils sont habitués à cela et savent se garantir du temps bien mieux que nous Nina.

Messages : 27 Date d'inscription : 03/06/2012

(Sortant su salon, quelques temps plus tard et après de nombreux calvas ingurgités ...)

[/i]La nuit nous happe, Arés et de suite cerné par ses soeurs et nous aussi, Athéna et Sekhmet nous font une fête de retrouvailles. Bien vite elles s'empressent de charger Arés voulant jouer de leurs puissants muscles au détriment de leur frère, ce dernier habitué à ce genre d'attaque fait front puis part en une course effrénée, les jumelles à ses trousses comme deux boulets tirés de la bouche d'un canon.
Je regarde la scène en riant, leurs vélocités pour tant de poids m’impressionne toujours, que Dieu protège l'intrus en lui donnant mort rapide pensais-je.

La belle et délicieuse femme en mon coeur me regarde, rire affiché, elle me parait détendue et heureuse, en un resserrement des ses doigts sur mon bras, je commence à la sentir vivre et exister à nouveau.
Je place ma main sur la sienne et tendrement en caresse le dessus....[/i]

Nina, ne prends pas froid, rentrons....

Messages : 328 Date d'inscription : 18/01/2009 Localisation : eu

Les chiens s’amuse comme des petit fous, un plaisir de les voir ils rient tout deux, sa main glisse sur la mienne qu’il caresse doucement

Le ciel bleu nuit criblée de myriade de lucioles stellaires annonce déjà la venue des douces nuits de printemps

Nina sent un frisson la parcourir de la pointe de ses ........pieds jusqu'à la racine de ses cheveux et elle sent avec délice car cet émoi charnel traduit les émotions du moment aussi bien que la nuit complice qui laisse exhaler les premiers signe d'un printemps déjà rieur

Sa peau au teint de lait frémi, elle sert ses bras sur sa poitrine pour resserrer l'étole qui ne cesse de glisser sur l'arrondi de ses épaules et lance un voile à peine transparent sur le haut de son corps. Cachant ainsi ce qu'elle voudrait offrir à l'amant qui saura la séduire, en l'occurrence la compagnie de l'homme qui l'accompagne n'est pas fait pour lui déplaire, elle le sent attentionné, tendre et l'étincelle de douceur qui a jaillit lorsqu'il a caressé sa main en et la preuve formelle.

Soudain le gazouillis d'un geai faisant probablement la cour a sa belle dans la douceur d'un nid retenti, il fait écho au bruit des pas du couple dans les feuilles.

Elle ne peut s'empêcher de faire le lien de ses aspirations secrètes. Elle aussi voudrait se blottir dans la tiédeur d'un nid bien douillet...

L’air est chargée de la douce odeur musquée de la nature qui se réveille après ce rigoureux hiver et ses jours mornes qui se sont succéder et elle emplit ses poumons de cet air prometteur et évocateur avec volupté faisant devenir son souffle court par moment et parfois reposé

Nina, ne prends pas froid, rentrons....

Oui rentrons il ne fait pas encore bien chaud

S’approche encore de lui et pose sa tête sur son épaule et ils s'éloignent ainsi et se dirigent vers sa demeure

Messages : 27 Date d'inscription : 03/06/2012

Oui rentrons il ne fait pas encore bien chaud

Il m'est possible de ressentir les variations de son souffle, parfois d'une grande quiétude, parfois en de brèves saccades, les lumières du manoir au loin affichant la buée exhalée de sa respiration.

Les feuilles crissent, craquent sous nos pas, quelques étoiles pointent et la fraîcheur de la nuit commence à nous mordre plus intensément. Il règne de multiples senteurs, annonçant l'arrivée sous peu du printemps renaissant de ses cendres avec ses bouleversements de dame nature.

Des frissons parcourent son corps, sur lequel, elle ajuste un châle léger, presque transparent en sa texture finement ouvragée, de ses épaules à son décolleté recouvrant la blancheur de ses fruits fermes et généreux de femme.
Mes sens sont en éveils, elle me transporte au pays des délices, mon échine frémissante d'envies de l'enlacer et l'embrasser, ainsi, là, de suite dans la nuit de ce parc sous le regard des molosses revenus à nos cotés. Je dois me faire violence pour résister à mes pensées et désirs de l aimer, de lui déclarer mon feu et sa flamme, de m'abandonner. Le dilemme est là devant moi...Il frappe à ma porte et moi je cherche les clefs....

Les interrogations reprennent leurs droits de suite.
Que pensera t elle de ma fougue?
Est elle prête à cela?
Le cortège de questionnements bat tambours en ma tête et mon coeur en ma poitrine.

Nous avançons ainsi, l'escorte canidé en place, à chacun de nos pas le manoir grandit et la lumière diffuse éclaire notre chemin dans la pénombre. Les arbres se détachent en illusions phantasmagoriques.

Nina se rapproche de moi, je tressaille comme un Jouvenceau de la dernière niché.
Tendrement elle pose sa tête sur mon épaule, je suis au Paradis!
Je passe mon bras autour d'elle à hauteur de sa taille, ma main la tient ainsi au niveau de ses hanches, Nina calé tout contre moi.
Mes sens deviennent exacerbés, son corps collé ainsi, scande la marche de nos frottements sensuels.
Je m’arrête et me place face à elle tout en l'enlaçant tendrement, avec une douceur infinie. Dans ses yeux je me perd une fois de plus.

Nina...Je ...

La renversant juste un peu en arrière, je dépose mes lèvres sur les siennes en un baiser amoureux, je m'ouvre à elle....

Messages : 328 Date d'inscription : 18/01/2009 Localisation : eu

L’un contre l’autre nous marchons sa main enserre ma taille, je suis calme détendu si bien la contre lui me sent a ma place comme si elle m’attendait depuis toujours puis d’un coup me lâche me regarde se place face a moi je me perds au plus profond de ses prunelles plongeant jusqu'à son âme

L’appel du corps et du cœur est le plus fort
Justement est elle amoureuse ou son émoi est il dicté par son corps ?

Et la contre toute attente ses lèvres joigne les miennes avec infini douceur

Je m’abandonne a se baiser plus de question, plus de doute, juste un plaisir immense partagé

Elle est prête à refaire sa vie a la partagé de nouveau, elle sait que c’est lui par Les battements de son cœur qui s’affole, l’immense bonheur qui l’étreint

Le soleil se couche comme pour préserver l’intimité de se premier baisé La laisse toute émue et tremblante

Le regarde tendrement, prend sa main et remonte les marches doucement sens dire un mot ils sont inutiles

Messages : 27 Date d'inscription : 03/06/2012

La belle Nina s'abandonne en un baiser offert auquel elle donne réponse tendrement amoureuse de ses lèvres depuis si longtemps fermées, sur les miennes jamais données.
En un enlacement, sans un mot, nous nous comprenons, apprenant dans le regard de l'autre qui nous sommes réellement. Je peux ressentir son coeur et sa générosité, son amour et croyances, je peux admirer son âme aussi et ses attentes, sa pureté, tout passe en eux. Tellement de choses me submergent que le temps me semble s’arrêter et le sol s'ouvrir sous mes pieds.

En une pensée, je sais maintenant qu'elle est prête à refaire sa vie et s'ouvrir aux plaisirs de cette dernière à mes cotés, mon coeur bat chamade et mon esprit pense déjà aux lendemains enchanteurs sa main en la mienne.

Les chiens sont là, tout autour de nous, nous regardant, queues frétillantes, bien que Athéna et Sekhmet soient possessives il faut bien l'avouer. Arés lui reste calme, les yeux sur nous et les oreilles à l'opposé en fidèle gardien qu'il est.

Nina toujours sans un propos tout comme moi, nous n'en avons nul besoin, nous nous comprenons, me prend par la main et m’entraîne dans son manoir ou en pénétrant, nous voyons la table mise avec en son centre une soupière au velouté de la tentation des papilles gustatives.

Plongeant dans les yeux de mon aimée, je me laisse ainsi guider, car je sais qu'aucune autre ne pourra jamais prendre mon coeur, ni mon âme, ils lui appartiennent pour l'éternité!