Maison de jeandanjou, 18 rue nicaise

Gabrielle avait reçu une missive la veille de la part de son tendre amour Jean. Elle avait refermé le pli et l'avait déposé sur une table afin qu'il reste en vue. Jean l'avait cordialement invité à le rejoindre chez lui à Rouen. La jeune femme s'était alors empréssée de boucler quelques malles. Gabrielle était impatiente de le retrouver, cela faisait déjà une semaine que son professeur de danse l'avait laissé. Un dernier regard s'était échangé avant que l'homme ne disparaisse pour rejoindre sa ville. Là, elle avait su, sentant une pression sur son coeur, que cet homme avait laissé des traces. Ils avaient échangé jusqu'à ce jour de nombreuses missives mais celle-là, c'était la cerise sur le gâteau. Comment refuser une invitation de la part de l'homme qui fait chavirer votre coeur ....

Elle avait alors pris une diligence qui l'emmena expréssement à Rouen. Elle qui n'avait jamais quitté Eu, prit vraiment son courage à deux mains pour faire le voyage. La route n'était point fameuse et la jeune femme était souvent ballotée dans la voiture. Se retenantà ce qu'elle pouvait pour ne pas finir sur les genoux de son voisin, elle souriait afin de ne point montrer son embarras. Les portes de la ville fut enfin en vue, ce qui rassura Gabrielle. Elle avait fait le plus gros mais allait elle trouver Jean aussi facilement. Tenant dans sa main droite la dernière lettre reçue, elle la serra un peu plus. Lorsque la diligence s'arrêta sur la place de Rouen, Gabrielle sentit son estomac se nouer. Avec l'aide du cochet, elle avait quitté l'habitacle. La ville était en activitée, la sotte qu'elle était avait omis de prévenir son tendre, cela lui fera certe une surprise mais elle était en mauvaise posture. Du regard, elle chercha une personne qui pourrait la renseigner. Elle se dirigea vers une vieille dame tout en laissant un regard sur ses malles.

Bien le bonjour madame, pouvez vous me renseigner je vous prie ? Elle lui décrocha un sourire pour lui montrer qu'elle n'avait aucune mauvaise intention. Je recherche la rue nicaise et n'étant pas d'ici ... La vieille femme prit le temps de lui expliquer le trajet et lorsqu'elle revint à ses malles, elle engagea deux hommes pour lui porter ses affaires à l'adresse qu'elle leur avait indiqué. Puis elle déambula dans les ruelles jusqu'à se retrouver au numéro 18 de la rue nicaise. Un grand sourire se lu sur son visage, elle était enfin à destination.

Elle repositionna sa robe, puis s'attarda sur ses cheveux. Elle se posa alors devant la porte et cogna dessus en 3 coups.

jean entendit trois faible coup car il était a l'étage puis descendit et alla voir qui pouvait t'il attendre a cette heure çi puis ouvrit la porte delicatement et vit le visage de son ange à cette instant son visage s'illumina et sauta sur son amour et l'embrasse langouresement puis lui pris ses bagages et lui dit d'entrer et lui

ho mon ange qu'il surprise de te voir le voyage a du être éprouvant veux tu quelques chose a boire assoie toi sur mon fauteuil il est moelleux a souhait aprés que tu te sois reposer je te ferai visité ma maison

Gabrielle avait fait un long voyage et avait attendu longuement. Le vent s'était engouffré dans ses cheveux et le temps qu'elle les maintiennent, la porte s'était enfin ouverte. La joie se lisait sur le visage de son tendre. Quel bonheur de rendre heureux quelqu'un rien quand lui rendant une simple visite. Après un long baiser échangé, Gabrielle pénétra dans la maison. Jean semblait être pris au dépourvu.

Je suis désolée d'arriver sans te prévenir mais je voulais te faire une surprise. Ses joues semblaient être en feu. Elle avait osé venir ... Son tendre s'était occupé de ses malles et elle se dirigea sur le fauteuil que celui-ci lui avait recommandé. Posant sa capeline au passage sur le bord d'une chaise, elle prit place pour se remettre du trajet.

Je ne pensais pas être aussi épuisée mais le déplacement en vaut le coup. Elle lui sourit. Comment vas tu ? Je ne te dérange pas j'espère ?

[i]Sophie arriva devant la maison de son chéri, elle ne sait pas si il est chez lui...elle décide de frapper à la porte

[b]Toc toc toc

Pas là, je m'en vais

jean alla ouvrir, puis son visage s'illumina pris son amour et la porta j'usqu'au canapé et la déposa délicatement et lui dis

tu dois être extenué que veut tu a manger ou a boire mon coeur tes désirs sont des ordres

Merci chéri, tu es un amour, je veux bien un thé glacé s'il te plaît

jean courru dans toute la maison et lui apporta un doux thé glaçé et lui donna

voilà mon amour si tu veux autres chose tu me le dis

Ne voulant pas dormir une nuit de plus à la caserne Firenze vient frapper à la porte de Jean.

toc toc toc!!

Il était bien tard et il se demandait si on allait lui ouvrir à une heure pareil sinon il retournait a la caserne . La maison semblait grande mais peut etre qu'au petit matin il pourrait la voir sous un meilleur angle. Il était devant la porte d'entrée.

Jean entendit frapper et ouvrit et trouva firenze et lui fit signe d'entrée en disant

ho tu doit avoir froid vient prés du feu les nuits sont fraiches et si tu veux queques chose demande moi

La porte s'ouvrit.

Bonsoir Jean...désolé de venir si tard... C'est vrai il faisait frisquet à présent il entra donc dans la maison de Jean et s'installa au coin du feu.

A vrai dire je voulais savoir si je pouvais passer la nuit ici, je ne veux pas dormir à la caserne.. je repars demain matin bien sur Il étendit ses mains devant le feu, il ce serait bien endormi là à la chaleur du feu tellement il était fatigué. Il avait sans doute presumé un peu de ses forces suite à sa guérison et son épaule lui lancait de temps à autre.

Il était resté un moment au coin de feu le regard plongé dans l'atre.
Puis il avait gagné l'étage pour se glisser sous les draps, laissant bottes et vetement un peu n'importe où.
Il s'endormi rapidement dans ce lit moelleux, sommeil réparateur sans rêve ni cauchemard.

Il se réveilla au premiere lueurs du jour, se demanda ce qu'il faisait ici puis se rapela. Il renfila pantalon, bottes et chemises sans toutefois la boutonnée entierement et il redescendit. Une odeur de brioche parfumait le rez-de-chaussée ,en la suivant il trouva sur la table de la cuisine un panier de petite brioche qui sortaient du four.

Sophie arriva exténuée chez son amour, elle espérait tant qu'il soit chez lui afin de le serrer dans ses bras, elle rentrait d'une trop longue absence.

TOC TOC TOC

/me entend taper puis va ouvrir et voit son ange et lui saute au cou l'embrasse passionement et prend les bébés les porte à l'interieur , revient et porte son amour d'un coup dans ses braspuis la dépose délicatement sur le divant


oh mon coeur comment je suis trop heureux de te voir tu veux quelques chose à boir ???? à manger ?????

toque a la porte

excuser moi mais j'ai un message de ma sœur

pouvez vous passer au cadastre de Rouen dans son bureau afin de noter votre adresse svp