Quinquin n'avait pas perdu une miette du spectacle des lanceurs de feu, il ne faisait d'ailleurs que d'en parler, excité comme une puce, mais sa maman ne voulait pas qu'il essayer de les imiter avec un baton enflammé...
Puis vinrent les troubadours, ils jouérent de la musique, et tout le monde se mit à danser, lui il s'amusait à courir et faire le fou entre les couples qui virevoltaient jusqu'à ce qu'une dame, que les autres grandes personnes appelaient "ange" vienne le voir et lui dire "je cherche un cavalier et tu es le seul jeune homme libre tu veux danser avec moi? il dit oui et la dame le souleva pour qu'il soit à sa hauteur et le fit danser, tout le monde souriait en les voyant.
Puis peu à peu, sous l'effet des nombreux gateaux avalés, et de l'énergie qu'il avait dépensée, quinquin éprouva le besoin de s'asoir, ses muscles commençaient à être douloureux , ses paupiéres lourdes et ses yeux lui piquaient...et peu à peu il s'endormit...ne sentant même pas qu'une main ferme l'avait empoigné pour leramener à son lit dans la maison de son tonton fildelin.